Je chante le corps électrique11 minutes de lecture

Couverture (Fair use)

Retour au Kilimandjaro :

Un homme se rend à Sun Valley dans l’Idaho dans un camion qu’il dévoile être une machine à remonter le temps. Il questionne un chasseur qui semble comprendre de qui il parle quand il lui demande des renseignement sur LE vieil homme. Il repart et tombe sur un marcheur qu’il prend en stop, tandis que les différentes évocation du comme celle du Kilimandjaro laisse penser qu’il cherche l’écrivain Ernest Hemingway, que ce passant est et qu’il amène au Kilimandjaro


Les Farouches Incendiaires :

Tandis que les guerres font rage en Europe, en Irlande est apparu seulement le grand chambardement, poussant 14 employés du seigneur Lord Kilgotten à se soulever. Après avoir convenu d’un plan au pub, ils partent pour mettre le feu au château, mis ont oublié des allumettes, puis sont accueillis par leur seigneur avec toute a dignité attendue. Devant la reconnaissance de la gentillesse de leur maitre ils lui signale leur acte de vandalise, mais celui-ci leur demande u ndélai d’un jour, pour aller au théâtre, puis recevoir comme prévu leurs amis. Les hommes acceptent en respect pour lui et sa femme, puis repartant, le seigneur par vient à leur confier toutes ses œuvres d’art, plutôt que de les laisser détruire dans le feu. Ils commencent à déménager les œuvres, mais reviennent tous pour des raisons différentes, ramenant ces peintures ou sculptures. Les 14 hommes sont alors pris de remords à bruler la demeure et ses meubles, et finissent par abandonner leur plan destructeurs.


L’Enfant de demain :

Peter et Polly Ann Horn ont un bébé mais lors de la naissance assistée par la machine à accoucher, celle-ci connait une panne provoquant une déstructure dimensionnelle projetant le bébé dans une dimension inconnu, laissant là qu’une pyramide bleue munie de six tentacules et trois yeux montés sur des appendices. Le scientifique explique que ce bébé existe bien et est en bonne santé et dans une autre dimension, et que la pyramide bleue est leur enfant tel qu’il apparait. Ils décident de le garder, puis quelques semaines plus tard, le docteur Wolcott leur promet de le ramener. Les mois passent, mais celui-ci finit seulement par leur proposer une solution alternative, de les envoyer dans la dimension de de leur enfant pour vivre avec lui, et un jour, plus tard, de venir les chercher quand il aura la solution. Le couple finit par accepter, et est envoyé dans la dimension de leur enfant pour les retrouvailles sont chaleureuse, tandis que sur Terre, il ne subsiste que de rectangles de couleur, matérialisation des parents dans cette dimension.


Femmes :

Un couple est sur la plage, alors qu’une sorte de monstre marin sans forme, aux cheveux verts, au cerveau de corail et cependant avec une voix ou présence de femme est tapie dans les eaux et attend une proie avant la fin de la saison. La femme est quelque peu intriguée par cette mer étrange et finit par ressentir une présence maléfique qui tente de lui subtiliser son mari, et en conséquence, elle utilise différents subterfuges pour le garder sur le sable, plutôt que de le laisser aller à l’eau. À la fin de l’après-midi, alors qu’ils repartent, une voix de femme appelle au secours à l’eau, l’homme finit par s’y jeter, il est capturé par la créature marine, mais tandis qu’il commence près d’une minute après à se noyer, elle le rejette au rivage, déçue de la fragilité des hommes.


La Prophétesse de basse-cour :

Durant la Grande Dépression, une famille voyage vers l’est du pays et arrive dans un motel qu’ils vont appeler Le Motel de la prophétesse de basse-cour. Fuyant le chômage de l’Illinois, ils traversent le Kansas, et l’Oklaoma pour aller plus loin trouver du travail, mais à Amarillo au Texas, ils font une halte après une avarie avec leur voiture, où la gérante du motel leur montre deux œufs pondus quelques jours auparavant par l’une de leur dix milles poules de leur élevage, un avec un taurillon gravé et l’autre avec la phrase « Aie confiance La prospérité est proche ». Elle laisse sous-entendre sans le dire que c’est une prophétie. La famille repart partagée, sans savoir si c’est le cas ou non.


La Seconde Mort d’Abraham Lincoln :

Cent ans après sa mort, un robot humanoïde a été créé à l’effigie d’Abraham Lincoln. Un joue, lorsque ce robot parade lors d’une représentation dans un théâtre, un homme nommé Booth (homonyme du véritable tueur de Lincoln) le tue d’une balle de révolver. Booth est arrêté, le responsable Bayes l’interroge, tandis que le créateur du robot, Phipps et son entreprise d’ingénierie, est en route pour constater cette tragédie. Booth révèle être lâche, craintif de tout, mais surtout jaloux de la société et de la réussite. Bayes tente de connaitre le mobile de crime consistant à essayer de tuer la représentation et incarnation d’un homme vivant, mais il ne parvient pas à faire avouer quoi que ce soit à Booth à part qu’il s’y est senti obligé, qui décline fermement un intérêt à se faire connaitre ou aduler. Mais plutôt que de lui donner une certaine notoriété en dévoilant cet acte, via la presse, un procès et les suite, décide de laisser partir le tireur en le menaçant de le tuer s’il révélait quoi que ce soit. Tandis que Phipps n’arrive pas à rentrer pour voir dans quel état est sa création, Bayes est pris de regret d’avoir laissé partir Booth.


Oui, nous nous rassemblerons au bord du fleuve :

Tout le petit village d’Oak Lane traversé par une route où passe le flot incessant des voitures et des gens qui nourrissent la vie de leur activité et leurs besoins, est sous le choc de la construction d’une autoroute qui passe à 200 du village sans s’y arrêter, synonyme de coup fatal. Certains sont nostalgiques, d’autres amers de ne pas avoir réais de suite, et d’autres simplement contemplatifs, sinon acceptant ce sort funeste, comparant le flot de voiture à celui d’un fleuve.


Du printemps dans l’air ?… :

Un homme appellé David Snell-Orkney et cinq amis énigmatiques arrivée d’un pays lointain et inconnu nommé Taormina, désireux de connaitre de la nouveauté décide de voyage, et choisisse alors l’Irlande, où ils séjournent dans un l’hôtel. Rapidement, tous les gens qu’ils croisent sont effarés, ahuris et interloqués par ces gens qu’ils trouvent différents et atypiques ; tous ces Irlandais se retrouvent au pub, tandis que certains surveillent ces visiteurs qui finissent dans un parc à observer des feuilles mortes. Finalement, alors que les questionnements sont au plus haut point, David et ses amis s’y rendent et expliquent qu’ils ont trouvé les mystères qu’ils étaient venus chercher, des feuilles changeant de couleurs en fanant ; puis il repartent dans l’incompréhension de la plupart alors que certains évoquent qu’ils sont des sylphes, sortes de lutins folkloriques irlandais.


Barton appelle Barton :

Emil Barton, 80 ans seul sur Mars depuis 60 ans, dans des villes désertes depuis plusieurs décennies, reçoit un appel téléphonique surprenant, puisque c’est lui-même mais à l’âge de 20 ans. Dès son arrivée il a enregistré toute une banque de donnée de réponses et de conversations possible pour se parler à lui-même dans le futur et combattre la solitude, bien qu’il ne connaisse pas l’avenir. L’homme se parle à lui même pendant les premiers appels, les premiers mois, bien qu’il sache que c’est un enregistrement, puis au bout de quatre années de discussions, sa version jeune de lui-même commence à l’insupporter et devenir cynique, puis il décide de détruire le réseau téléphonique mais finalement ne le démonte pas totalement, pensant qu’une fusée puisse arriver pour le sauver et le ramener à Terre. Justement il reçoit un appel d’un vaisseau en approche, il croit à une farce de l’intelligence artificielle gérant la base de données de sa jeune identité, puis finit par y croire, puis quand malheureusement le vaisseau arrive, il meurt. Barton de 24 parle alors avec une version de 26 ans et les deux se réjouissent d’avoir réussit à se tuer.


L’Interdit :

En Irlande, Nora vit dans le manoir de Grynwood, une demeure somptueuse de sa famille depuis des générations. Cependant, elle appelle son ami Charles, lui demandant de venir, car elle veut ‘en débarrasser et la vendre. Celui-ci se remémore certaines soirées qu’il a passé plusieurs années auparavant et s’étonne que Nora veuille ce séparer de ce monument. À son arrivée, il retrouve une maison identique à son souvenir, tandis que Nora est atterrée lorsqu’elle lui explique que la maison a chassé ses invités et écourté la soirée de la veille, alors qu’elle est connue pour organiser régulièrement des soirée extraordinaires rameutant des gens du monde entier. Elle lui explique alors que la maison, las de supporter fêtes, orgies, beuveries, débauches, meurtres, meurtriers et malfaiteurs, s’est laissée mourir et a brulée toute seule. Nora a reconstruit durant deux ans la maison à l’identique, de la moindre pierre fenêtre, jusqu’au moindre lustre parquet ou livre de la bibliothèque, mais que la maison terminée seulement deux semaines plus tôt, dont la première fête s’est tenue la veille, a écourté la soirée elle même et poussé les convives dehors. Charlie inspecte la maison et passe la nuit dans une chambre, mais au matin, il comprend, lorsque la port s’ouvre d’elle même qu’elle demande le départ de ses occupants. Il rejoint Nora dehors qui est déjà sorti durant la nuit, et partent tous les deux, laissant la maison seule, avec tout à l’intérieur, sans même refermer la porte.


Je chante le corps électrique :

Après la mort de sa femme, Simmons et ses trois enfants Tom, Timothy et Agatha se rendent à l’entreprise Fantoccini, où ils achètent l’aide/ami/ménagère/cuisinière/nounou qui la les aider à la maison durant toute la vie, choisissant toutes ses capacités, comme son apparence ou sa voix. Dès sa livraison dans une attente stressante de la famille désireuse de connaitre ce robot, celle qu’ils appelle rapidement Grand-maman est très vite très bien acceptée par Tim et Tom, fort des astuces, du savoir-faire, de l’attention infatigable et toujours adaptée même idéale, et ainsi que de nombreuses petites ou grandes ou attentions masquée envers eux. La relation avec Agatha est beaucoup plus compliquée, puisqu’elle ne semble pas accepter cette présence, tandis qu’à mesure que passent les jours et les mois, ses frères comprennent qu’en réalité, elle a peur de se laisser aller à l’aimer et de s’attacher, plutôt que de réellement la détester. Au fur et à mesure, si Agatha reste toujours distante, la glace qu’elle a placée entre elles se brise peut à peut. Un une conversation avec toute la famille permet à Grand-maman d’exprimer son entier dévouement, prétextant sa nature robotique ne pouvant la détourner de choix qu’elle ou que la famille peuvent faire, comme la cupidité, lassitude paresse ou courage, et leur propose de demander tout ce qu’ils veulent. Cependant, Agatha qui se sent plus ou moins délaissée par tout le reste de la famille depuis quelques temps n’y croit pas et quitte la maison en courant. Elle traverse alors la rue devant une voiture qui va la renverser, mais Grand-maman qui l’a suivi la pousse et se fait percuter à sa place. Agatha la croit morte et souffre de voir une nouvelle mort. Agatha se releva alors saine et sauve, et comprend que la relative haine d’Agatha pour elle est causée par la perte de sa mère qu’elle aimait, et qu’elle ne veut pas s’attacher à elle afin de ne jamais revivre ca. par la suite, la famille aidée par le robot électrique grandit, puis es enfants quitte le domicile familial, puis ont des enfants. grand-maman dévoile alors qu’elle va être renvoyée, pour vérification pour démontage, ou pour une autre famille, mais devant la tristesse et le refus de la famille, elle leur propose d’aller dans une sorte d’hospice pour robot et, quand ils seront vieux, très vieux devenus dépendant, elle reviendrait dès qu’ils le redemanderaient. Quand les enfants furent vieux, ils expriment alors l’envie de retrouver leur Grand-maman.


Le Jour de la grande exhumation :

Dans le Missouri, un cimetière désaffecté doit laisser place à une nouvelle route, si bien que les habitants du coin telle que Mme Loblilly comme d’autres choisissent de déterrer les restes des morts de leurs proches pour les préserver. Loblilly déterre William Simmons, son fiancé d’une vingtaine d’année dont elle était amoureuse et que la maladie a emporté. Le cercueil de plomb est ramené chez elle, amis à son ouverture, elle trouve le corps de son amour tel qu’il y a été placé plusieurs décennies plus tôt, à sa grande stupéfaction, en parfait état de conservation. Les premier émois passés, elle s’apitoie sur son compte, puis décide de se faire belle pour lui plaire, mais elle finit par constater qu’elle ne pourra jamais l’être autant que lui. Elle décide de le laisser là et quitter la maison, mais quand elle ouvre la porte, le vent s’engouffre dans le cercueil et comme à le faire vieillir ; chaque heure qui passe alors fait vieillir la dépouille de dizaines d’années, puis le lendemain, lorsqu’elle se réveille, elle ne trouve que des restes tombés en poussière, et là devient heureuse, dansant, et chantonnant qu’elle sera toujours plus jeune et plus belle que les morts.


Tous les amis de Nicolas Nickleby sont mes amis :

Ralph Spaulding, âgé de 12 ans voit un jour arriver en train à Green Town dans l’Illinois un homme se présentant sous l’identité de Charles Dickens alors que celui-ci est mort depuis bien des années. Il s’installe dans une des chambres louées par les grands-parents de Ralph et sympathie rapidement avec lui ; il confirme être l’écrivain, et obtient son aide pour écrire ses roman qu’il lui dicte, tandis que l’enfant prend des notes, notamment Histoire des deux villes (livre de Dickens). Plusieurs jours passent permettant à cet homme de rédiger le récit presque jusqu’à la fin, l’enfant croyant à son identité tandis que ses grands-parents et le barbier du village sont sceptiques. Cependant il finit à avouer à Ralph qu’il a renommé Pip (personnage créé par Dickens), qu’il n’est pas réellement Dickens, mais un auteur n’ayant pas réussi et a jeté tout ses écrits, puis après avoir lu tout les plus grands auteurs de ce monde, en est capable de réécrire chaque ligne qu’il a pu en lire, lui permettant ainsi de devenir l’auteur qu’il désire. Dickens décide de quitter la ville mais ne prend pas le train, permettant à Pip de lui présenter Miss Emily Dickinson (homonyme d’une poète américaine) la bibliothécaire, qui recopie des poèmes pour essayer d’en absorber le style ou l’écriture. Ils tombent sous le charme l’un de l’autre, se marie et quittent la ville pour voyager, alors que Dickens continue à écrire des romans de son homonyme.


Le Costaud :

Leonard (aussi surnommé Le Costaud, ou Sammy et bien d’autres) a 30 ans, et vit chez sa mère, il fait de la musculation, mais il refuse régulièrement les sollicitations des gens de son âge ; il a connu une fille, mais qui passait son temps à manger. Lors de la soirée d’Halloween, il prépare des citrouilles, se déguise et sort, puis essaye de faire peur aux seuls huit de ses amis qui sont venus sur les 20 prévus, mais il s’énerve puisque ceux-ci sont accompagnés de leur chéries et ne font rien. Il quitte la soirée et rentre chez lui en furie expliquant ses regrets à sa mère. Un ami l’appelle pour sortir le lendemain ou le surlendemain, mais il refuse l’offre et s’endort aux côtés de sa mère.


L’Homme à la chemise bariolée :

Dix ans après la disparition du grand psychiatre Immanuel Brokaw, le narrateur Simon Wincelaus le retrouve dans un bus remontant la côte au bord de la mer, interrogeant la plupart des passager en leur demandant de décrire ce qu’ils voient dans les motifs de la chemise qu’il porte, bariolée de formes permettant d’effectuer un test de Rorschach. Les deux hommes discutent, Broca explique sont départ pour deux raisons, des problèmes d’audition et de vue, provoquant son incompréhension de nombreux mots et quiproquos de sa part, et l’usage de lentilles de contact en cristal lui ayant permis de mieux voir la réalité. Alors qu’il comprenait mal nombres des mots que ses patients disaient, il arrivait à les soigner, et sa meilleur vision l’a dégoutée, de voir l’imperfection et les irrégularités de la peau de tout les gens qu’ils croisait. Au-delà de ces faits, il a choisi d’arrêter de voir la réalité au plus clair pour être heureux, arrêtant son travail et se débarrassant de ses lentilles. Il dévoile alors qu’il travaille toujours, seulement pour le plaisir en interrogeant tous ceux qu’il croise au sujet de ses chemises de Rorschach.


Henry IX :

Samuel Welles se rend au nord de Douvres en Angleterre pour rencontrer Harry Smith, le dernier homme présent sur l’île, en décembre, le soir de Noël. Il lui indique que demain partent les derniers hommes vers le sud, poussés par un climats toujours plus froid, et lui demande de venir avec lui, comme les multiples fois précédentes. Harry refuse à son vieil ami, puis hésite à reprendre l’hélicoptère le temps d’un instant, puis reprend ses esprit et explique pourquoi il veut rester dur comme fer le dernier, protéger les lieux, faire perdurer les coutumes et l’histoire, visiter et connaitre. Sam finit par s’en aller devant l’obstination de son ami.


À la recherche de la cité perdue :

Sur Mars, des touristes spatiaux rejoignent le milliardaire L.V. Aaronson sur son bateau, pour une croisière de quelques jours à l’aventure, à la recherche de la cité perdue Dia-Sao (ou cité maudite). Pour cela les canaux et les rivières asséchées depuis 20 000 ans, depuis que la cité a été perdues, ont été re-remplis d’eaux pour permettre la navigation vers ces régions jusqu’à inexplorée. John Wilder rencontre les passagers dont le mécanicien Parkhill, l’acteur Beaumont, le chasseur Aikens, le poète Harry et sa femme Megan Harpwell, et une belle mais vieillissante femme nommée Cara Corelli. Pendant plusieurs jours, ils voyagent sur les eaux, croisant ruines et sanctuaires, puis pénètrent un tunnel sous une montagne creuse entourée de prairie, qui mène à la cité Dia-Sao. Dès les premiers pas à l’intérieur, la ville robotisée s’éveille, les portes s’ouvrent tout comme les fenêtres et volets, ou les trottoirs roulants qui s’animent, puis tous partent explorer la ville. Beaumont rentre dans un bâtiment qui s’avère être un théâtre dans lequel figure un public de robots, et où il se met à jouer sans s’arrêter, devant une salle acquise à son art. Cara Corolli pénètre dans le palais des miroirs, et s’extasie devant la multitude de miroirs lui renvoyant son reflet toujours plus jeune, mais n’en sort pas. Parkhill s’introduit dans un hangar où il trouve des milliers de véhicules de toutes sortes, un atelier de réparation où il se met à réparer des machines. Le poète se dispute avec sa femmes qu’il ne supporte plus, puis elle est enfermée dans un bâtiment. il monte dans un véhicule qui subit différents accidents sous différentes formes (voiture, train, avion…) et revit toujours un accident mortel qui lui coute la vie. Puis il retrouve sa femme, qu’il quitte sur le champ. Wilder se retrouve dans une église à la voute sidérale puis dans des pâturages où viennent d’atterrir des fusée ; mais il décide de refuser ce qui voit, pas en le disant mais en le pensant, et tout disparait. Le chasseur rentre dans un musée d’armes et prend une arme qui lui semble efficace ; puis il comprend alors lorsqu’il ne trouve pas de gibier que la ville est sa proie ; il voit des sorte de machines en forme de bouche qui mâchent et avalent des choses. Il tire dessus, celle-ci disparaisse, mais il s’aperçoit rapidement, que les machines ne sont pas détruites mais invisible, puis il est trainé par un tapis roulant dans les sous-sols de la cité. Wilder s’échappe lorsqu’il comprend que les Martiens ont déserté la ville car ils ont créé une ville autosuffisante, mais qui les gardent à jamais. Il utilise une sorte de jet pack pour rejoindre le bateau auprès duquel Aaronson a réussi à arriver. Pendant ce temps, le ciel se ferme puisqu’un toit le recouvre progressivement, ils rattrapent Parkhill puis le poète, qui décident de rester dans la ville et les portes de la ville se referment. Puis ils empruntent le tunnel pour repartir, mais plus tard des fusées apparaissent et parle à Wilder (ils n’ont éventuellement pas eut le temps de sortir ou ne sont pas réellement sortis).


Christus Apollo :

Sous-titré « Cantate célébrant le huitième jour de la création et la promesse du neuvième », le huitième jour de la création pour l’homme, jour de Noël et la naissance du Christ, a-t-il eu lieu sur d’autres planètes dans l’univers, Dieu s’est-il manifesté ailleurs, aube d’un neuvième jour.

Commentaires

C’est un recueil de nouvelles de science-fiction.