L’Homme illustré13 minutes de lecture
Prologue: L’Homme Illustré :
Le narrateur rencontre un homme intriguant, qui lui dévoile qu’il ne reste jamais au même endroit car il perd régulièrement sont travail, en raison de ses tatouages. Il travaillait dans un cirque à l’âge de vingt ans quand il s’est fait illustrer le corps par une sorcière venue du futur, et qui lui a tatoué dix-histoires différentes sur le corps. Le jour, il travaille, mais la nuit, ses tatouages se mettent à bouger et à décrire le film de l’avenir qui va se dérouler. Ils passent donc la nuit ensemble, puis le narrateur finit par regarder les tatouages, et commence à faire le récit de la première histoire qu’il a pu voir sur le corps de ce nouvel ami si étrange. L’homme illustré précise qu’il va mourir lui aussi s’il regarde.
La Brousse :
George et Lydia Hadley sont dans la salle de jeu perfectionnée de leurs enfants Wendy et Peter, fonctionnant avec projections mentales des pensées, qui matérialise une brousse africaine en trois dimensions, recréant même la chaleur, les odeurs, les lumières, des lions qui mangent et des vautours sur les restes de leur proie ; ils entendent des cris de voix qu’ils semblent connaitre. Puis voyant les fauves malodorant s’approcher, Lydia a peur pour ses enfants, et se demande comme son mari l’efficacité de cette méthode, et les dangers de les confronter à la mort. Ils tentent de changer la simulation mais ne peuvent pas. Les enfants rentrent et essayent leur simulateur quand leur père les menace de le stopper, mais les parents les trouvent alors dans un autre univers, de forêt, d’un château et d’une fée. Pourtant, il trouve son portefeuille mâchouillé et ensanglanté dans la salle. George décide de débrancher la maison pour couper la salle de jeu. Il fait venir le psychologue David McClean qui regarde cette brousse mais n’arrive pas à voir ce que mangent les lions, et inquiet, il conseille de détruire la salle de jeu ; George trouve à ce moment-là une écharpe de Lydia ensanglantée dans la salle. Ils finissent par arrêter et débrancher le simulateur, puis toute la maison automatisée. Wendy et Peter tombent en rage contre leur père, Lydia essayant d’adoucir les choses et de faire le tampon, négocie une dernière minute de simulation pour faire plaisir à ses enfants. Ceux-ci attirent George et Lydia dans la brousse et les enferment seuls dans la salle. Les lions s’approchent et ils se mettent à crier (cris qu’ils reconnaissent puisqu’ils les ont entendus, les leurs). Puis McClean arrivent tandis que les enfants regardent les lions manger, il tente de percevoir ce que dévorent les lions mais ne comprend pas ; il semble revivre les mêmes événements que Gorge au début tandis que les lions mangent George et Lydia.
Kaléidoscope :
Une fusée percutée par un météore explose non loin de la Terre, propulsant les membres de l’équipage dans toutes les directions. Ils ne se voient plus mais discutent, entre colère et incompréhension, entre espoirs de survie et résignation à leur sort fatal, viennent chamailleries et règlements de compte (ente Applegate et Hollis), ou regrets (Lespère), puis remords et confidences. Après des adieux, ils finissent par mourir, Hollis se demande ce qu’il pourrait faire pour combler le vide qu’il ressent de sa vie avant de mourir, ou se racheter de ses mesquineries ; il pense tomber sur le sol et finir en cendres pour l’enrichir. Il rentre alors dans l’atmosphère et flambe comme une météorite, sous les yeux d’un enfant émerveillé qui fait un vœu en regardant cette étoile filante.
Comme on se retrouve :
La population noire de la Terre a émigré vers Mars et colonisé toute la planète, fuyant, la ségrégation raciales, les meurtres et tueries raciales et la violence des blancs envers eux. Les blancs se sont affrontés et entretués dans des guerres atomiques, puis vingt ans plus tard, une fusée chargée de blancs se pose sur Mars, tandis que certains enfants n’en n’ont jamais vu, comme ceux de Hattie et son mari Willie. Elle part avec des voisins et Willie très remonté pour les voir arriver, revanchard, mais prêt à les accepter, et désireux de leur faire subir toutes les atrocités qu’ils ont fait subir aux gens de couleur, la séparation, la pauvreté ou le métiers les plus rabaissants. Mais Willie prend des fusils et des cordes pour aller les accueillir, sous les yeux apeurés de sa femme, ainsi que de la peinture pour faire différentes marques de ségrégations. Sur l’aire d’atterrissage, il interpelle le maire pour créer des lois discriminatoires et ségrégationnistes, mais ce dernier s’oppose à lui. La fusée atterrit, et un homme en sort et se présente, un vieillard en fin de vie qui explique que toute la Terre a été détruite par la guerre atomique qui vient de se finir depuis un ans ne laissant pas plus de 500 000 survivants et que tout est radioactif, et qu’ils ont récupéré le seul métal restant pour faire cette fusée, afin de venir vivre sur Mars, en harmonie avec eux, selon leurs règles. Willie est toujours amer, mais le vieillard lui apporte les preuves de la destructions de tous les lieux de ségrégation et de souffrance de son enfance, somme la mort, la disparition de blancs racistes de son enfance. Il finit par penser que les blancs sont alors comme eux, l’égal des noirs et décide d’arrêter toute vengeance.
La Grand-route :
Un couple de mexicain qui vit au bord d’une route très passante, voit arriver une voiture avec des occupants en panique. le mexicain leur donne de l’eau puis ils repartent avant de dévoiler qu’ils fuient la guerre nucléaire qui vient de se déclencher, et que c’est la fin du monde. Le mexicain reprend le travail de labourage de son champ, se demandant ce qu’ils entendent par « monde ».
L’Homme :
L’une des trois fusées partie de la Terre pour explorer l’univers et pilotée par Martin et Hart, arrive enfin sur une planète très lointaine mais habitée par une civilisation. Il sont surpris de voir que les habitants ne sont ni émerveillés ni intéressés par leur arrivée, puis découvrent que la raison en est la veille, la venue d’un homme providentiel qui a changé leur vie, un homme qu’il découvre être le Christ (ou dieu). Cet homme est décrit comme bon, généreux, et a fait de nombreux miracle redonnant vie ou soignant des malades, mais Hart n’y croit pas pense que c’est Burton ou peut-être Hashley, les autres capitaines des fusées terriennes arrivées avant lui. Il pense que Burton a pu les berner pour favoriser son entreprise d’exploitation minière ou pétrolière, mais finalement les deux fusées atterrissent. Les trois seuls rescapés dévoilent avoir été pris dans un orage cosmique quelques temps auparavant et que Burton et Hashley sont mort deux jours plus tôt, confirmant arriver là pour la première fois. Hart commence à y croire, interroge le maire de la ville usant de violence pour connaitre où cet homme providentiel, mais il lui dit qu’il n’est plus là. Martin décide de rester avec une partie de l’équipage, alors que Hart repart. Le maire déclare alors qu’il va chercher l’homme de planète en planète sans jamais le trouver, et suggère qu’il est toujours là.
La Pluie :
Une fusée s’écrase à la surface de Vénus, sur laquelle il pleut continuellement, une pluie terrible et implacablement mortelle puisqu’elle a la consistance du verre, et peut être fatale en fonction de la quantité et de la densité des précipitations. Les survivants partent à pieds sous la pluie qui les cinglent, rejoindre la coupole solaire la plus proche, un bâtiment-abri avec une sorte de boule d’énergie au centre créée par les Terriens. Il utilisent un canot de survie pour atteindre une rive, et là ils croient voire la coupole, mais s’approchant, ils retrouvent la fusée à leur point de départ. Ils pensent que leurs instrument de navigation ont été perturbés par l’orage électrique, puis un homme électrocuté et brulé par l’un des multiples éclairs qui s’abattent sur eux. Ils reprennent la route jusqu’à la mer et partent vers le sud où s’y trouvent deux coupoles. Après une longue route, ils en aperçoivent les formes, se mettent à courir, mais ils la trouvent abandonnée, sans nourriture et sans sa boule de feu, envahie par la jungle et le toit avec un multitude de trous laissant passer la pluie, un état de délabrement qu’ils supposent causé par une attaque des Vénusiens. Le groupe décide d’aller à l’autre coupole, et s’enfonce profondément dans les terres, mais l’un d’entre-eux craque et s’arrête, n’en pouvant plus. Le lieutenant l’achève d’une balle pour éviter un fardeaux, tandis qu’ils ne sentent plus leurs jambes sous la pluie ; un peu plus loin, un autre abandonne et s’arrête pour mettre fin à ses jours, tandis que le lieutenant continue, puis arrive enfin à la coupole. Il y trouve nourriture chaude, habits et serviettes propres et ressent la chaleur intense, qui le pousse à se déshabiller, mais semble-t-il faire face à une hallucination manant par la suite à sa mort comme ses congénères.
L’Homme de l’espace :
Doug décrit les quelques jours jours que passe son père chez lui avec lui et sa mère tous les trois à quatre mois, au retour de ses voyages d’exploration spatiale durant trois à quatre mois. Doug veut épouser la même carrière, mais son père le dissuade, lui expliquant qu’il veut être dans les étoiles quand il est sur Terre et vice-versa. Puis au bout de dix ans, il décide d’arrêter sa carrière et rester auprès de sa famille, mais il meurt en percutant le soleil. S’il tiennent rigueur au soleil d’avoir enlever leur père et leur mari, la mère dévoile ne pas s’en fier, puisque dès son premier départ, il est revenu changé et plus jamais le même, et depuis longtemps elle ne s’attend plus à le voir revenir, et fait même comme s’il n’était pas là quand il était là, conseillant à Doug de faire pareille et continuer à vivre.
La Dernière nuit du monde :
Un homme père de famille est persuadé qu’il vit sa dernière journée, parvient à convaincre plus ou moins sa femme qu’ils vont mourir avant le lendemain, et continue à vivre les geste et habitudes du quotidien comme si de rien n’était, se demandant par exemple qu’ils doivent fermer entièrement la porte ou s’ils ont bien fermé le robinet d’eau de la cuisine avant de s’endormir.
Les Bannis :
En 2020, de nombreuses œuvres, fantastiques ou gotiques ont été bannis, conservant qu’un seul exemple pour la mémoire. Les auteurs perdurent vivent dans une sorte de vie issue de l’au-delà sur la planète Mars. À l’approche d’un vaisseau de terriens, les auteurs dont Poe se demande comment faire et quoi faire pour faire face à cet arrivée. Arrivant sur Mars, les terriens détruisent les nombreux livres qu’ils avaient emporté, faisant disparaitre tout les écrivains et maisons ou ville qui avaient été recréé.
Ni un soir ni un matin :
Deux hommes nommés Clemens et Hitchcock sont dans un vaisseau à plus de un million de kilomètres de la Terre. Ce dernier, constatant qu’il n’y a plus rien, de nuit, de jour, de matin, de Terre commence à se poser des question sur la réalité et exprime à Clemens son idée que plus rien n’est vraiment réel. Il remet en cause l’existence de ce qu’il ne voit pas de ses yeux ou ne peut toucher ou atteindre, de la Terre, des étoiles ; il lui explique qu’il a commencé à douter de ce qui existe dans son autre métier écrivain, puis a choisi de partir dans l’espace pour atteindre le néant de l’espace, où il n’y a rien. L’équipage pense que c’est le mal de l’espace, mais les discussions avec Clemens lui font prendre conscience que sont état empire. Quand un météore percute le navire, il prend panique et croit qu’il voulait le tuer. Finalement, Hitchcock sort par la suite du vaisseau, et meurt seul, ne croyant plus à rien, puisqu’il ne voit plus le vaisseau, puis agonisant plus ses membres, ni rien d’autre et disparait à jamais dans l’espace.
Le Renard et la forêt :
Fuyant la guerre nucléaire et bactériologique en 2155, William et Susan Travis voyagent dans le temps en 1938, deux siècles plus tôt à New York, où ils changent d’identité et partent pour le Mexique. Le voyage dans le temps n’est permis que pour le plaisir et pour un cours instant, et un frein psychologique est implanté pour ne rien révéler avec de ne rien modifier du passé. Des enquêteurs appelés Limiers sont chargés en outre de trouver et ramener les éventuels fuyards. Le lendemain, un américain nommé Simms se présente à eux et se fait passer pour un touriste seul, mais le couple voit en lui un limier. Le lendemain, ils décident de rester en public (les limiers ne peuvent rien faire en public pour préserver le secret), et rejoignent une équipe cinéaste américaine dirigée par un certain Melton, mais Simms n’hésite pas et s’approche, dévoilant qu’il sait qu’ils sont Ann et Roger Kristen originaires de 2155 et qu’ils les suit depuis New York. William négocie son retour, sans torture ni sanction, pour travailler sur une bombe à hydrogène (son métier) en échange de permettre à sa femme de rester. Mais aussitôt, William tue Simms avec sa voiture en lui fonçant dessus ; puis l’enquête conclue à un accident. Le couple se croit plus ou moins à l’abri et reprend son intention d’être accompagné pour éviter les limiers, quand ils croisent Melton qui les invite dans sa chambre. Mais celui-ci se dévoile, lui et son équipe de limiers, et les ramène en 2155.
Le Visiteur :
Mars est peuplée seulement des malades incurables, qui y ont été envoyés dans une sorte de quarantaine, ou d’isolement. Léonard Mark qui possède des dons de télépathie précisément de projection mentale arrive sur la planète rouge, où il est accueilli par un malade nommé Saül Williams et dès son arrivée, il lui présente ses capacités avec une illusions. Devant la prouesse de tels pouvoirs, et afin de le garder seulement pour lui, ne voulant pas partager avec les autres malades, prétextant l’importance de ses capacité et le danger des autres, il l’enlève et l’attache, dans une caverne, malgré les tentatives de projections de Mark pour s’extraire de lui, notamment en l’envoyant dans New York, ou produisant dans la caverne du feu et des vapeurs de souffre, ou même se faire disparaitre lui-même. Peu de temps après, cinq malades martiens arrivent, Mark tente une conciliation en mettant en place une rotation chaque jour à chacun où il offre ses pouvoirs, mais ils refusent, espérant s’approprier en totalité les pouvoirs de Mark. La situation s’envenime, il produit une nouvelle simulation de New York, ils semble alors s’entretuer, l’un d’entre tire, mais tue Mark, mettant fin aux illusions à jamais.
La Bétonneuse :
Les Terriens ont envoyé une fusée sur Mars un an auparavant, permettant aux martiens de copier la technologie et décider d’envahir la Terre. Ettil Vrye est un martien non-violent qui ne veut pas s’engager dans l’armée et partir pour la guerre prévue pour envahir la planète bleue ; de plus, il semble être le seul martien à lire et connaitre la littérature de science-fiction terrestre qui imagine depuis longtemps ce conflit, et à chaque fois il y note que les martiens envahissent la Terre mais finissent toujours tous tués et repoussés, alors que eux n’ont pas intégré, pensé ou imaginé ce que pourrait être l’issue d’un tel conflit. Pourtant, il est obligé de s’engager, et intègre le premier régiment qui débarque sur Terre avec hostilité pour la conquérir. Cependant, à leur arrivée, les Martiens trouvent une société pacifiste ayant banni la guerre et les armes, et qui les accueille en fête, avec amitié, hospitalité, gentillesse et les convient dans la paix à les rejoindre et vivre avec eux. Toutefois, ils doutent de la sincérité de cette accueil chaleureux, mais Ettil, lui est sous le choc, après une brève discussion avec une femme dans un parc, car il comprend que ce n’est pas par les armes qu’ils vont périr, mais par l’intégration et la société consumériste et bien différente de la leur, sinon par la maladie. Il rencontre alors un producteur de film nommé R.R. Van Plank, qui recherche un martien afin d’exploiter le filon martien, c’est-à-dire produire un film, mais pas seulement, tout produit dérivé à l’effigie des martiens nourriture, produit de consommation ou magasins, mais pas seulement sur Terre, également sur Mars. Ettil voit en lui l’horreur de la société moderne, destructrice ou excessive, ainsi que le héro des livres de science-fiction qu’il a lu. Il hésite à repartir et laisser faire les chose, mis voyant arriver une voiture, il ne fait rien pour l’éviter, et meurt écrasé.
Automates, société anonyme :
Braling dévoile à son ami Smith qu’il a acheté un robot identique en tout point à lui-même, Braling Deux à la société Automates, et qu’il va prendre place aux côtés de sa femme possessive, puisqu’il a l’intention de partir en voyage pendant un mois à Rio. Smith qui est intéressé par avoir un jour de répit ca et là avec sa femme qu’il aime, décide d’en faire autant. Le soir même, il décide de consulter les comptes en banque pour retirer de l’argent pour se payer un robot à son effigie, mais il s’aperçoit qu’il est presque vide ; là, il commence à douter, il s’approche de sa femme et entend les mécanismes à l’intérieur de son corps, révélant ce qu’il craignait, il vit avec un robot de sa femme. De son côté, Braling rentre chez lui et prépare son départ, mais Braling Deux lui explique qu’à force de la côtoyer de temps en temps, il est tombé amoureux de sa femme. Braling Deux enferme alors Braling à la cave et part à Rio avec la femme de ce dernier.
La Ville :
Des hommes se posent en fusée sur une planète lointaine et pénètre une ville robotisée endormie depuis semble-t-il vingt mille ans, Taloan. Mais rapidement, elle s’éveille, des mécanismes permettant l’odorant, la vue, l’ouïe, puis la pesée et la prise de mensuration s’activent. Tandis que l’équipage patrouille et explore la ville, certains ont un curieux pressentiment, quand le capitaine disparait discrètement dans une trappe. Il tombe dans une sorte de laboratoire où il est disséqué, ses entrailles sont vidées de son corps et de sa tête, puis remplacées par des organes robotiques, mécaniques et électroniques, puis une intelligence artificielle lui explique que des humains sont venus il y a vingt mille ans et ont anéanti la civilisation en laissant une maladie incurable se répandre avant de repartir. La civilisation mourante a construit cette ville pour atteindre un éventuel retour, reconnaitre ses bourreaux et prendre sa revanche. Le capitaine réapparait à ses hommes et leur explique la situation quand ils sont capturés et eux-aussi transformé en robot. Tous aux ordres de la ville, ils repartent pour la Terre avec des bombes chargées de menaces bactériologiques et de maladies mortelles pour tuer tous les humains dès leur arrivée. La fusée décolle pour la Terre, la ville se rendort et meurt.
L’Heure H :
Une jeune fille nommée Mink Morris joue au jeu de l’invasion, un nouveau jeu en vogue dans le quartier, puisque tous les jeune de moins de dix ans sont obnubilés par cette activité, comme tous les jeunes du pays. Mink qui récupère tout un tas de bouts de ferraille, couteau fourchette, barre, pour les bricoler dévoile à sa mère qu’un certain Commando est venu de l’espace, pour envahir la planète par de nouveaux moyens, et se font aider des enfants. Progressivement, les enfants construisent des sortes de petites boites (pouvant être une sorte de mécanisme), puis un jour, les parents Morris qui jusque-là pensaient ce jeu inoffensif, s’enferment chez eux, puis ils entendent des explosions, des pas lourds, laissant croire que l’invasion suggérée par ce Commando est en cours. La maison est alors infiltrée par quelque chose, Mink accompagnée d’un robot, ou d’une machine avec l’esprit de commando dedans, ou alors Mink a été transformée en sorte de robot mécanisé.
La Fusée :
Fiorello Bodoni rêve d’aller sur Mars, et avec les trois mille dollars qu’il a économiser, il veut se payer se voyage, ou à sa femme ou ses enfants. Son vieil ami Bramante lui conseille de ne pas le faire, si pauvre, travaillant sur un chantier de démolition où il découpe et font du métal et qui doit se racheter outil et machines pour travailler. Mais finalement tellement limité en financement, il propose à un seul des membres de sa famille, sa femme qui ne peut pas, enceinte d’un nouveau fils, ni l’un de ses fils, en raison de l’école. Peu après, un homme lui propose vendre un prototype de fusée qui ne fonctionne pas pour en récupérer le métal, qu’il achète. Il s’imagine au commandes et arriver sur la planète rouge, puis juste avant de la détruire, il décide de ne pas le faire. Il la trafique, monte plusieurs moteurs de voiture cachés dedans, et installe des écran pour simuler l’espace. Il prend tout ses enfants et simule pendant une semaine un voyage dans l’espace puis à la surface de Mars, puis lors du retour, priant pour qu’ils ne découvrent pas le subterfuge. Sortant de la fusée au bout d’une semaine, les enfants sont émerveillés et remercie leur père, tandis que leur mère est encore plus amoureuse de son mari, face aux efforts qu’il a accompli pour rendre ses enfants heureux et lui demande de l’emmener dans l’espace.
L’Homme illustré :
William Philippus Phelps travaille dans un cirque, et vient de se marier avec Lisabeth, l’ouvreuse. Cependant, il mange beaucoup pendant une année si bien qu’il grossit. La direction du cirque décide de se séparer de lui en raison de sa prise de poids ; il tente d’insister, mais leur homme tatoué du cirque étant décédé récemment, c’est la seule solution que ses employeurs peuvent lui offrir. Il se rend dans le Wisconsin chez une artiste tatoueuse de qui il a entendu alors parler, une vieille femme étrange aux yeux cousus et au nez et les oreilles bouchés. L’homme est interloqué par le personnage, il est comme hypnotisé, lorsqu’elle lui montre qu’elle a le tatouage de son visage sur sa main depuis 50 ans et qu’elle l’attendait. Elle lui dévoile connaitre le passé le présent et le futur, lui propose de luis dessiner le futur, et il accepte de se faire tatouer le buste complètement, notamment avec deux tatouages spéciaux, un sur le torse et l’autre dans le dos, non-terminés qui le seront tout seuls et progressivement, grâce à sa transpiration et ses pensées, une semaine, plus tard et deux semaines pour celui du dos, afin de devenir pleinement l’Homme Illustré. De retour au cirque, il endosse la carrière de l’homme tatoué attirant les foules pour venir voir les œuvres dessinées sur son corps. Lors du dévoilement, son torse laisse apparaitre divers créatures telles que des trolls, des dinosaures, des monstres mi-femmes mi serpents, des poissons qui semblent tous vivants et animés, devant un public ébaubi et ravis ; puis il dévoile le premier tatouage mystérieux, les monstres disparaissent, puis apparait le tatouage dans une scène où il tue sa femme en l’étranglant. Le public est sous le choc et médusé, et malgré la demande incessante du public les jours suivants pour le voir, la direction et sa femme lui reprochent ce tatouage. Ils font intervenir un tatoueur qui ne parvient pas à recouvrir le tatouage. Il essaye de l’enlever à acide ou au papier de verre. Puis sa femme devient très hostile et très méchante, l’insulte, l’humilie en raison de son obésité, lui dévoilant qu’elle ne l’aime pas et qu’elle le hait. L’homme perd le contrôle de lui même, et la tue, alors qu’il l’aimait plus que tout, et n’avait pas l’intention de lui nuire malgré le tatouage. Il prend alors la fuite, tandis que les autres employés du cirque, l’homme squelette, l’homme ficelle, l’homme ballon, le nain, le garçon poque et d’autres le poursuivent. Ils finissent par le rattraper et le frappent avec des barres de fer jusqu’à son agonie, quand il commence à cracher du sang étendu à plat ventre sur le sol. Ils se sentent alors mal et se mettent à vomir, quand ils voient alors apparaitre le second tatouage. Ils y voient un groupe de monstre penché au dessus de l’homme illustré mourant sur le sol qui regarde son dos, et le tatouage dans lequel ils voient un groupe de monstre penché au dessus de l’homme illustré mourant sur le sol qui regarde son dos, et le tatouage dans lequel ils voient……………
Épilogue :
Le narrateur a finalement vu tous les dessins, mais il reste un endroit vide dans le dos. Là il voit progressivement se dessiner des traits puis un tatouage apparait alors, et dans celui-ci il reconnait l’homme illustré en train de l’étrangler lui-même ; il s’enfuit sans attendre que le tatouage soit bien net.
Commentaires
C’est un recueil de nouvelles de science-fiction.
- L’Homme illustré
- Ray Bradbury
- 1951
- Folio SF (2005)
- Traduction par Constantin Andronikov et Brigitte Mariot
- 9782070417797