Car la vie est dans le sang11 minutes de lecture
Car la vie est dans le sang
Le narrateur écrivain reçoit son amis chez lui, un artiste peintre nommé Holger, dans le sud de l’Italie dans une tour ancienne située au sud du golfe de Policastro et au nord du cap de Scaléa. Au loin, Holger repère un monticule qui ressemble à une tombe, et au dessus croit y voir un cadavre étendu. Malgré les réticences de son amis qui a déjà vérifié et sait qu’il n’y a rien, Holger décide d’y aller vérifier. Depuis chez lui, il croit voir ce qu’il appelle « la chose » agripper et empêcher Holger de repartir, et lorsque celui-ci revient, il dit avoir connu des sensations étranges, les mêmes qu’a ressenti le narrateur, lors de son exploration des lieux. Holger propose à son amis d’écrire une histoire sur ces faits, mais celui-ci lui rétorque qu’il en existe déjà une et lui raconte.
Le vieil Alario a un fils nommé Angelo qu’il a promis à la plus riche famille du village ; cependant, une certaine Cristina, ressemblant à une gitane, qui fait quelques besognes chez Alario, est également éprise de lui. Un jour, Alario meurt, mais deux maçons en train de travailler chez lui, dérobent une boite dans laquelle est sensée être toute sa fortune, et s’enfuient. Ils l’enterrent au niveau du monticule en question, en espérant la déterrer quelques jours plus tard ayant trouvé un navire. Cristina, étant parti avant la mort du vieil homme chercher un docteur, revient, et surprend les deux hommes en train de creuser ; ceux-ci décident de la tuer et de l’enterrer avec la boite, puis retourne chez Alario, pour éviter les soupçons. La servante d’Alario constate cependant le vol de la boite, connaissant son existence. Rapidement les deux hommes son soupçonné, mais ceux-ci prennent la fuite ; Cristina ne reparaissant pas est soupçonnée d’être complice. Alario est enterré, le mariage d’Angelo est annulé faute de dot, et il devient mendiant. Tous les soirs, il sort dans la campagne et voit une femme, aux lèvres écarlates, avec deux dents pointus ; il la voit régulièrement et en tombe amoureux, bien qu’il ne sache pas bien s’il rêve ou si c’est la réalité. Un matin, il se réveille sur le monticule paniqué, et fatigué, le souvenir des lèvres de Cristina ; le lendemain, une force le pousse à y retourner, et malgré qu’il semble rêver, il sent les lèvres de Cristina dans son cou, et son sang couler. Tous les soirs, il s’y rend poussé par une force, et elle le vide de son sang. Cependant, Antonio, celui qui s’occupe de la tour en l’absence du narrateur revient dans la région et depuis la tour, voit un homme se faire vider de son sang par une créature. Il fait appel au prêtre du village afin de l’aider et se rend sur les lieux le lendemain. Ils y trouvent Cristina en train de sucer le sang d’Angelo à demi mort. Le prête lui lance de l’eau bénite, ce qui la fait partir. Puis Antonio creuse le monticule dans lequel il découvre le corps de la vampire et lui plante un pieu dans le cœur ; ils trouvent la boite avec la fortune d’Alario. Ce dernier part en Amérique du Sud pour s’établir.
Le Cri
Le narrateur, marin et cousin de Luke Pratt et de sa femme tout-deux décédés comme leur fils, se sent responsable d’avoir raconté une histoire qui a changé le cours de leur vie et mené à leur disparition. Lorsque les deux cousins dînent ensemble, le docteur dévoile que sa femme veut le tuer, poussant son cousin a évoquer de nombreuses façons de tuer les gens. Le lendemain, la femme de Pratt meurt subitement soi-disant d’une crise cardiaque, puis quelques années après leur fils meurt en Afrique du Sud. Pratt dévoile qu’il a tué son chien Bumble en le droguant et le chloroformant. Quand Pratt meurt, le narrateur hérite de la maison et relate de nombreux détails dans un récit. Il soupçonne son cousin d’avoir tué sa femme suivant les méthodes dont il lui a parlé, par exemple avec du plomb liquide dans l’oreille d’une personne endormie. Lorsque le corps du médecin est retrouvé la gorge lacérée par des dents animales ou humaines, il y avait une boîte et un crâne à côté de lui. Chez son cousin , le marin trouve une cuillère avec du plomb et s’en débarrasse et commence à douter. Il découvre dans une armoire là boîte à chapeau de sa femme, dans laquelle figure le crâne dont il est persuadé qu’il appartient à Madame Pratt. Ce crâne devient pour lui une sorte d’obsession, il finit par entendre des bruits et des petits cris qui sortent de l’armoire et de la boîte. Il ouvre la boîte, et le crâne se met à crier, jette le tout par la fenêtre de l’autre côté de la route. Mais quelqu’un soit dans la porte, il ouvre mais il n’y a personne, et sans que quelque chose roule à ses pieds, il trouve le crâne, qu’il pose sur la table puis dans l’armoire dans sa boîte. Par la suite, un employé nommé James Trehean qui a aussi servi de fossoyeur lors de l’enterrement de Madame Pratt, creuse le jardin et déterre une mâchoire humaine, dans le marin s’aperçoit qu’elle correspond au crâne. Lorsqu’il les regroupe, il a failli être mordu, puis quelques jours après il entend ce cri à l’extérieur de la maison, mais il ne comprend pas puisqu’il a scellé la boîte. Je crois que c’est peut-être le vent très fort qui s’ouvre très régulièrement dans cette maison, sinon son imagination. Quand il ouvre la boîte à chapeau, il constate avec stupéfaction qu’elle est vide et imagine que les crânes est sorti tout seul, il y trouve aussi un petit morceau de plomb qui lui laisse penser aussi que Pratt a bien tué sa femme selon la méthode qui lui a décrite. Il retrouve le crâne devant la porte, le replace dans la boîte et la scelle avant de le remettre dans l’armoire. Par la suite, un journal local relate la mort du marin et sa mort causé par la morsure d’un humain, probablement une femme, dans des circonstances qui restent tout de même inexpliquées.
La Poupée fantôme
À Londres, dans la maison des Cranston située à Hyde Park, la jeune et frêle Lady Gwendolen Lancaster-Douglas-Scroop, la plus jeune fille du 9e duc de Cranston descente timidement les escaliers, et fait tomber sa poupée Nina, à la grande stupéfaction de tous les domestiques. Sa tête de porcelaine est cassée, et ne dit plus que la moitié des mots. La jeune creuse un trou pour l’enterrer, mais un soldat passe et l’accompagne chez un vieux réparateur de poupée établi à Londres appelé M. Puckler, aidée de sa petite fille Else qui confectionne les vêtements. Puckler est amoureux de quand il voit qu’elle ressemble à Else et se met au défi de la réparer, ce qui lui prend plusieurs jours de travail difficile, compliqué. Il confie le soin à Else de ramener la poupée dès qu’elle est prête, mais celle-ci met du temps à revenir, et quand il se rend chez les Cranston, ils ne l’ont jamais vu. Il rentre très inquiet chez lui, et très triste, mais alors que la lumière d’une bougie éclair faiblement il voit apparaître la poupée debout, et qui parle, avec les yeux qui semblent humain et ressemble à ceux de Else. Malheureusement, quand la bougie se remet à éclairer, la poupée disparaît. Il se demande s’il n’a pas rêvé, puis interroge la police et partout dans la ville, sans succès, puis quand il revient il entend à nouveau la voix de Nina. Décrivant la poupée comme un fantôme, qu’il voit sortir dans la rue, il décide de la suivre, quand elle se rend jusqu’à un bâtiment austère. Lorsqu’il y rentre, et il trouve un hôpital dont le personnel lui dévoile qu’une enfant a été déposée quelques heures plus tôt. Il retrouve donc Nina, qui confesse avoir été attaquée par deux garçons ayant tenté de lui voler le colis et qui ont pris la fuite, mais a conservé la boîte de la poupée. Quand ils l’ouvrent, Nina est complètement détruite.
Le Sourire mort
Hugh Ockram, qui arbore sur son visage âgé une peau par cheminée, des yeux tels ceux de crapaud, mais surtout un sourire considéré comme cadavérique dont madame Macdonald sa très vieille nourrice âgée de cent ans prétend qu’il voit les enfers quand il arbore, voie son fils nommé Gabriel lui annoncer son mariage avec sa cousine Evelyn Warburton. Il conseille et demande à son fils de ne pas se marier avant sa mort, ce qui déçoit beaucoup les deux amoureux. Ceux-ci évoquent ce secret, le sourire étrange retrouvé sur certains cadavres de la famille enterrés dans les sous-sols de la maison, qui semblent bouger tout seul et ne peuvent rester dans les bières. Macdonald vois apparaître une sorte de visage, comme l’ange de la mort annonçant le décès du vieil homme. Elle tente de lui extirper son secret mais il refuse, ainsi que l’identité du père de Evelyn qu’il le révèle pas également. Son corps est placé dans les tombeaux souterrains avec la dépouille de son père Vernon, dont la tête est tombée mais replacée par Gabriel. Les amoureux attendent la fin du deuil pour se marier, Gabriel prend les rênes de la famille à la place de son père, Evelyn tente de demander à Macdonald le secret concernant son père mais elle ne dit rien, puis elle est irrémédiablement attirée vers la crypte mortuaire. Gabriel, qui semble plus ou moins progressivement prendre les rectus diabolique de son père sur le visage, est lui aussi omnibué par le souvenir de son père, et surtout son sourire démoniaque, et attiré par la crypte où il se rend. Il fait face à des visions démoniaques et terriblement repoussantes des corps de ses ancêtres flétris, usés, ravagés par le temps, et déchire le linceul de son père. Il trouve un parchemin sur lequel il peut lire son secret. Après la mort de sa femme qui la maudit car il était amoureux de Evelyn Warburton, il est parti à la guerre en Afghanistan avec son ami Warburton où celui-ci est mort. À son retour, ils nouent une relation qui donne naissance un an après à sa fille Evelyn, et fait croire quelle est la fille de son frère, donc qu’il est son oncle. Gabriel et Evelyn sont donc demi-sœur et demi-frère. Il tombe alors dans les bras l’un de l’autre, tandis que celle-ci a rejoint son frère dans la crypte.
Un homme à la mer
Le narrateur, Torkeldsen, un marin de métier, explique qu’il a vu de nombreuses personnes sauter à l’eau et d’autres à la mer en perdition, mais aucune n’en est revenue vivante, sauf une, en tant que revenant sur un bateau. Il raconte alors son histoire, lorsqu’il était second sur un navire. Il évoque deux frères jumeaux nommé Jim et Jack Benton, de très bons marins et des hommes modèles, dont l’un des deux semble amoureux d’une certaine Mamie. Durant une tempête, le narrateur et le capitaine Hackstaff entendent siffloter la mélodie de mauvaise augure sur un bateau Nancy Lee, puis supposent que c’est Jack, bien que celui-ci s’en défende. Consécutivement, le cuisinier annonce un homme à la mer, puis signale que c’est Jim Benton. Torkeldsen aurait voulu aller le rechercher, mais la mer déchaînée empêche toute action. Quelques jours après, l’équipage s’aperçoit que le nombre des couverts utilisés pour manger sont supérieur aux membres de l’équipage et qu’une part de plus que prévu est consommée, laissant supposer que Jim est toujours là. Le cuisiner croit que l’équipage lui joue tour, mais finit par apercevoir Jim et Jack en même temps et tente de lui tuer au couteau, mais il le rate et Torkeldsen intervient. Par la suite, ils entendent à nouveau siffloter Nancy Lee. Tout l’équipage finit par voir Jim ça et là, tantôt à l’avent, tantôt à l’arrière, en haut ou en bas, tandis qu’ils font halte à la Havane, une partie des matelots commence à délirer et veulent quitter le navire. Une grande partie des matelots récupèrent leur solde et quittent le navire, y compris Jack, mettant fin à cette intrigue inexpliquée. Par la suite, Torkeldsen fidèle à son capitaine son capitaine et au bateau reste sur le navire pendant quelques temps, puis devient capitaine de son propre bateau de cabotage, quand Jack le contacte, devenu agriculteur, il le convie à son mariage. Chez Jack, il rencontre Mamie qui lui confesse être inquiète, puisque parfois elle semble reconnaître Jim. Torkeldsen croit entendre quelqu’un chez lui, peut-être Jim, mais il ne trouve personne. Le mariage est célébré, mais le lendemain, le couple entrelacé se promène sur la plage, tandis qu’un homme enserre également le couple. S’approchant, Torkeldsen reconnaît ce nouvel individu qui est Jack dans sa tenue de marin lorsqu’il est mort ; cependant, le couple de jeunes mariés ne le voit pas. Revenu à la maison, Mamie crie de panique, et ce fantôme de Jack emmène son frère en le serrant dans ses bras, et disparaîssent au fond de la mer. Jack était donc passé par-dessus bord, et Jim avait pris sa place pour se rapprocher de Mamie. Quelques jours après, deux dépouilles sont retrouvées entrelacées plus loin sur la côte, dont l’une est un squelette dans des habits de marin. Mamie quant à elle perd la raison.
Les Fontaines du Paradis
Un homme nommé Lord Cairngorm raconte son enfance dans la demeure familiale décrépie, construite sur les ruines d’un château ancien, possédant un parc également plus ou moins laissé à l’abandon, avec des jardins suspendus et des fontaines alimentées par un aqueduc et se déversant dans un ruisseau qui traverse la propriété. Il se rappelle regarder ces extérieurs quand les brumes mouvantes au-dessus des bassins laissaient croire à une présence vivante, dont sa gouvernante Judith prétendait que c’est la Dame des Eaux qui se manifeste. Lorsqu’il a six ans, Judith chante une chanson lugubre et prémonitoire, sa mère fatiguée meurt puis son père meurt également, et se croit poursuivi par une malédiction qui lui porte régulièrement malheur et malchance, peut-être causé par le château sinon ça gouvernante. Quinze années plus tard, il retourne au château, retrouve les domestiques et la gouvernante. Dès le premier soir, il se rappelle les extérieurs et décide de sortir pour contempler le jardin et les fontaines assis sur un banc, mais là il voit apparaître une femme belle aux yeux étranges avec une bouche merveilleuse encapuchonnée de noir qui le regarde, et qui disparaît subitement. Dès lors, il tombe amoureux de cette personne ou de cette vision, se demandant si ce n’est pas la Dame des Eaux. Rasséréner par cette rencontre, changeant complètement d’avis sur le manoir, il essaie d’éviter Judith pour ne pas en subir une mauvaise influence. Mais dans les mois qui suivent, il ne la revoit pas, et les mois passant l’hiver revient, laissant à nouveau naître une odeur de moisi dans le château qui le pousse à quitter les lieux et partir à l’étranger quelques temps. Durant les mois qui suivent, il parcourt l’Europe, Paris, l’Allemagne et décide de s’installer à Leipzig, où il se rend en train. Lors d’un arrêt dans une gare au cours du trajet, il croit percevoir le visage tant qu’il est tombé amoureux dans un train en partant pour Paris. Il décide de prendre le premier titre train pour la capitale française. Il fréquente de nombreux lieux connus et huppés de la capitale pendant quelques jours, et finit par trouver la femme qu’il recherche à l’ambassade d’Angleterre. Elle lui dévoile s’appeler miss Margaret Lammas et être de la famille noble des Bluebell, voisins du château des Cairngorm. Ils engagent une conversation, mais miss Lamass le juge rapidement triste et mélancolique, et l’exhorte à profiter de la vie et à agir. Celui-ci s’engage sur le champ dans cette voie et il lui demande sa main, expliquant la naissance de son amour lors de leur première rencontre dans les jardins et ses rêves d’elle durant les quelques mois qui ont suivi, mais elle refuse. Malgré tout, il réussi à se fiancer à elle quelques mois après et il s’installe dans les lieux pour y vivre exalté un bonheur nouveau ; il embellit le château et les jardins, malgré les regards tords de Judith qui marmonne de fâcheuses prédictions concernant la Dame des Eaux. Deux jours avant leur mariage, le couple se promène dans les jardins, traversant un petit pont au-dessus des eaux, et tandis que la tour ne cesse de sonner ses cloches et que Judith passe pour encore évoquer la Dame des Eaux, le pont cède, et il tombe à l’eau, ce qui comble Judith. Il ne parvient pas à retrouver sa future femme et plonge à plusieurs reprises mais finit par la repêcher, et réussit finalement à la réanimer. Ils finissent par se marier avoir des garçons et une fille et vivre heureux dans un château, qui ne respirera plus jamais la mélancolie mais plutôt seulement le bonheur.
La Couchette supérieure
Lors d’une soirée, plusieurs hommes discutent entre eux et quand l’intérêt commence à baisser, Brisbane prend la parole et raconte une histoire. Il prend un bateau pour traverser l’Atlantique, dans lequel il loge dans une cabine qui accueille un deuxième passager. Brisbane prend ses marques dans cette cabine numéro 105 où il est conduit par le steward Robert, puis voit dans la nuit arriver un individu peu engageant qui s’installe sur la couchette supérieure, et décide de l’éviter au maximum ; mais celui-ci est assez dérangeant la nuit, en plus de l’humidité déjà présente, il ouvre le hublot ou laisse la porte ouverte en partant dans les couloirs. Lorsqu’il se lève, Brisbane ne voit plus ce passager, et rencontre sur le bateau le docteur qui lui évoque un problème avec cette chambre, les précédents occupants ont sauté à l’eau et ont disparu, lors des quatre précédentes traversées, ce que le capitaine confirme, tous deux lui offrant la possibilité de venir loger dans leur cabine respective, mais il refuse. Il retourne pour une seconde nuit dans la cabine alors que le hublot est vissé, mais durant la nuit il se retrouve encore ouvert et voit une forme étendue sur le lit. Il agrippe ce qui est en réalité une masse informe et molle, une sorte de revenant qui finit par s’enfuir dans les couloirs. Conversant avec le docteur, il décide de tenter d’y dormir une nuit de plus, avec le capitaine qui a accepté de l’aider, pour dénouer ce mystère. Avant cela, il démonte toute la cabine avec un technicien mais ne trouve rien, ni même d’humidité. Le soir venu, le capitaine et Brisbane semble confiant, mais le hublot finit par se mettre à se dévisser tout seul malgré tous leurs efforts et s’ouvre. Brisbane se jette sur la couchette du haut et attrape le fantôme vit que humide et se bat avec lui. Il croit lutter contre la mort, et dans ce combat, il a le bras brisé et le capitaine est jeté à terre, sous le choc ne peut rien faire. Puis, le spectre semble s’en aller par le hublot et ne plus jamais réapparaître. Par la suite, le hublot et la porte de la chambre 105 sont scellés à jamais, Brisbane termine la traversée dans la cabine du docteur, et le capitaine considère qu’il n’y a rien de plus à rajouter.
Le Messager
Le narrateur se rend à un dîner, où il s’aperçoit qu’il ne sont que douze convives, et s’assied à côté de Miss Lorna, un peu froide, avec qui il entame la conversation. Elle lui confesse rapidement que le 13e couvert servi va être pris par un invité légèrement en retard, et que celui-ci est son prétendant avec qui elle va partir en promenade et disparaître pour vivre avec lui. Il va t’arriver un homme atypique mais cependant très intéressant, impressionnant, sombre et austère, avec qui il commence à discuter, puis aborde le sujet de la mort. Le narrateur semble avoir sa propre vision de la chose tandis que l’homme semble en connaître beaucoup à ce sujet. Après des passes d’armes verbales sur ce thème, le repas se termine, et Miss Lorna par au bras de l’homme promener dans le parc. Le narrateur demande alors l’identité de ce dernier, les invités du dévoile qu’il est la mort. Le narrateur se réveille alors sur son bateau en vue de Carthage et reçoit un télégramme en provenance d’Angleterre annonçant la mort de Miss Lorna, dont ce rêve prémonitoire durant sa sieste en après-midi la fin.
Commentaires
C’est un recueil de nouvelles fantastiques.
- Car la vie est dans le sang
- 1911
- Francis Marion Crawford
- Nouvelles Éditions Oswald – NéO (1987)
- Traduction par Gérard Coisne, Jacques Finné et Émile Chardome
- 9782730404259