La Belle et La Bête2 minutes de lecture

Couverture (Fair use)

Un riche marchand a trois garçons trois filles, dont la plus jeune, « la belle enfant », est la plus jolie et la plus vertueuse, alors que ses sœurs sont avides. Un jour, il perd sa richesse, l’obligeant à s’établir dans une petite maison de campagne où la belle s’acclimate alors que ses sœurs ne veulent changer de vie. Un an après, le marchand apprend le retour d’un de ses navire chargé de richesses, poussant ses filles à lui réclamer d’acheter des choses, mais la Belle ne demande rien, puis finit par demander une simple rose pour ne pas attiser plus de jalousie de ses sœurs. Le marchand rejoint ce bateau mais finalement apprend qu’il n’en retirera aucune valeur. Rentrant chez lui, il se perd dans un bois où il trouve un château où il pénètre et trouve une table garnie et un feu pour se réchauffer, mais aucun occupant. Lorsqu’il repart, il cueille un rose dans le jardin, moment où apparait un être monstrueux, la Bête, qui lui demande sa vie en échange de cet affront ; le marchand tente de s’expliquer et de se justifier, mais ne le convainc pas, et lorsqu’il évoque ses filles, la Bête lui propose d’offrir l’une d’elles, consentante, en échange de sa vie. Il accepte ce délai de trois mois, dans l’idée de partir pour revoir sa famille, puis revenir lui-même. La Bête lui donne un coffre de richesse, puis à son retour, cette histoire ne fait que attiser la haine de ses sœurs pour la Belle qui veulent l’envoyer auprès du monstre, tandis que ses frères veulent tuer cette bête, mais leur père leur en défend. Belle et son père se présente au château, puis ce dernier repart avec de nouvelles richesses données par la Bête. Le premier soir, Belle rêve d’une Dame qui la remercie et lui promet récompense pour son dévouement. Belle voit ce qu’elle désire dans une sorte de miroir magique, en l’occurrence son père revenir chez lui. Le lendemain, la Bête demande à la Belle de diner avec elle, et si elle est laide, mais elle refuse et confirme son aspect hideux et pendant plusieurs jours elle lui demande si elle veut l’épouser. La belle finit par s’habituer à sa laideur et l’aimait d’amitié, mais lui confessa la vérité et ne jamais parvenir à l’aimer totalement. Un jour la Belle lui demande de retourner chez son père seul qui lui manque terriblement, pendant huit jours, car ses filles se sont mariées et parties et ses fils sont à l’armée. La Bête accepte, et grâce à une bague magique, Belle se retrouve chez son père, et vit par magie apparaitre un coffre d’habits. Les sœurs pleines de jalousie reviennent chez le marchand et feignent la joie devant la Belle, qui au bout de huit jour décide de rester plus longtemps ; le dixième jour, Belle voit la Bête en rêve mourante dans les jardin du château, et est prise de remord en repensant à ceci, et à sa bonté, et à sa souffrance de la séparation, décide de rentrer au château. Elle retrouve la Bête, mourante, à l’endroit de son rêve et lui saute dans les bras, heureuse de la retrouver, sans éprouver la moindre crainte ou dégout face à sa laideur. Elle lui avoue alors qu’elle ressent plus que de l’amitié pour elle et accepte de se marier avec elle. la Bête se transforme alors en marchand jeune prince, qui lui explique l’enchantement d’une fée qu’il avait reçu a été brisé par son amour. Au château en fête, elle retrouve sa famille amenée par une fée, Dame qu’elle avait vu en rêve, qui pétrifie ses deux sœurs pour leur méchanceté et fait d’elles des statues jusqu’à leur repentir. La fée téléporte tout le monde dans le royaume du prince et ce dernier se marie avec la Belle.

Commentaires

C’est un conte fantastique, une nouvelle, reprenant la trame de La Belle et La Bête par Madame de Villeneuve, simplifié, épuré et amputé de certaines parties notamment la fin et les explications de la fée. Seule la trame est conservée simplifiée, pour donner naissance à un vrai conte pour enfant, avec les mêmes thèmes comme l’idée de ne pas fier aux apparences, l’avidité, la jalousie ou l’amour filial ou les relations fraternelles.