La Machine à désintégrer1 minute de lecture

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Edward Malone se rend chez le professeur George Challenger pour lui proposer d’aller vérifier la véracité d’une invention créée par le professeur Théodore Nemor, dont son rédacteur en chef McArdle a reçu un courrier le conviant. C’est une machine permettant de désintégrer tout objet à l’état moléculaire ou atomique et de le reconstituer comme auparavant. Chez Nemor, dans son atelier, le créateur de la machine propose à Challenger d’être le cobaye, mais Malone s’impose comme premier sujet afin de protéger son ami scientifique important. Il est vaporisé dans une sorte de brume pendant plusieurs minutes et ne se rend compte de rien, puis Nemor le reconstitue. Suite à ce succès, Challenger subit l’opération, mais en raison des doutes qu’il a émis, Nemor le désintègre, puis le recrée sans sa pilosité et ses cheveux, Nemor ayant découvert qu’il peut jouer sur cet élément et le supprimer si besoin. Comme à l’accoutumée, le colérique Challenger saute sur Nemor et le menace, et lui impose de le rendre à son état initial, ce qu’il fait ; puis il le félicite, inspectant le dispositif, se renseignant sur le fonctionnement, et évoquant les applications comme la guerre pour faire disparaitre une armée ou un bateau, Nemor évoque la vente de son invention à la Russie et la potentielle disparition de Londres. Par une ruse, Challenger fait assoir Nemor sur le siège prétextant un petit passage d’un courant électrique, puis il le vaporise, en raison des risques liés à cette invention, puis les deux amis partent sans le recréer.

Commentaires

C’est une nouvelle très très courte, mais très agréable.