La Peste Écarlate2 minutes de lecture

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James Howard Smith appelé Grand-père élève ses trois petits-enfants Bec-de-Lièvre, Hou-Hou, Edwin, dans un San Francisco où ils survivent dans les décombres, dévasté soixante ans plus tôt par la maladie de la Mort Rouge, la Peste rouge ou Peste écarlate. Il leur explique qu’il était professeur et enseigné à des élèves, tandis que des gens étaient chargés de produire de la nourriture pour ceux qui avait d’autres activités. Il explique l’existence de germes microscopiques étudiés et combattus par les bactériologistes qui ont entraîné maintes maladies plus ou moins maîtrisées avant de décrire le cas de la Mort Rouge. En 2013, New York puis Chicago sont les premières villes touchées par la maladie alors que Londres lutte secrètement comme l’Europe depuis deux semaines auparavant. Cette nouvelle maladie, provoque un rougissement du visage ou du corps qui conduit à la mort rapide en quelques minutes sinon en quelques heures, dans une sorte de paralysie. L’extrême rapidité d’action de cette bactérie empêche l’étude de celle-ci par les scientifiques, qui parviennent à isoler le germe mais finissent par périr, tandis que en Allemagne un remède semble avoir été trouvé mais n’ai jamais diffusé puisque l’Europe ne répond plus. Les villes désertées dans lesquelles les cadavres gisent sont en proie aux meurtres, aux vols et à la panique, alors que les populations tentent de partir loin de l’épidémie mais propagent malgré elles la maladie vers les campagnes ce qui décime la totalité de la planète. Grand-père décrit la mort de son frère, puis l’exode de la population de la ville alors qu’elle est en flamme et subit des pillages, lorsqu’il se réfugie avec quelques centaines de personnes dans l’école de chimie. Mais au départ préservée, le groupe subit rapidement les affres de l’épidémie et le lieu devient un charnier, que la cinquantaine de survivants est obligé de quitter pour partir vers la campagne. À mesure qu’il migre vers le sud-est, la maladie décime le groupe laissant finalement Grand-père seul avec un poney, un cheval et des chiens. Il décrit notamment le retour à la vie sauvage de tous ces animaux domestiqués par l’homme, ainsi que la disparition de certains. Il parvient jusqu’au bord du lac Temescal, à proximité de la ville d’Oakland où il trouve finalement un homme vivant, appeler le Chauffeur, Bill un homme violent et injuste, qui maltraite et domine par la violence sa femme appelée Vesta van Warden, fille d’un magnat de la finance du monde passé. Il passe quelques temps avec eux, il ne peut aider cette femme assouvie qui lui demande de l’aider à s’enfuir. Plus tard, ce despote offre finalement leur fille de un an en mariage à Grand-père. Au bout d’un mois, il décide de quitter les lieux pour explorer les collines de Contra Costa à la recherche d’une présence humaine dont Bill à parlé. Il retrouve une vingtaine de survivants appelée la tribu des Santa Rosa, auprès de laquelle il fait la connaissance de sa future femme, grand-mère des trois jeunes, Bertha. Il évoque de nombreuses années plus tard l’arrivée de survivant de l’Utah appelés Johnson et Mongerson qui deviendront les parents des trois jeunes garçons avec ses propres descendantes. Il les enjoint à se méfier du charlatan médecin appelé le Loucheur qui promet de guérir des maladies ou de faire le beau temps, et leur évoque la future reprise du dessus par l’être humain et le développement de son intelligence ou de son savoir-faire, grâce notamment aux livres et aux connaissances qu’il a consignées dans une grotte.

Commentaires

C’est une nouvelle de science-fiction post-apocalyptique.