L’Horreur dans le cimetière11 minutes de lecture

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L’Horreur dans le cimetière

Stillwater, sur la route vers Rutland en passant par Swamp Hollow, jouit d’une mauvaise réputation en raison de la ferme aux volets fermés sur le tertre au nord du village appartenant à Sophie Sprague, où s’y rend chaque jour le fou Johnny Dow qui hante le cimetière sud pour parler aux tombes. Depuis la mort du frère Tom Sprague, Dow se rend quotidiennement au cimetière où il dit parler aux mort, à Tom, et au responsable des pompes funèbres Henry Thorndike son employeur, mort le même jour. Dow va chaque jour crier ce que Tom lui a dit, obligeant ainsi Sophie à se cloitrer. Thorndike faisait d’horribles expériences pour tenter de créer une substance capable de conserver les dépouilles, notamment sur des chats ou un veau du village. Quand Tom est mort, Thorndike lui a injecté sa mixture, mais il s’avère qu’il n’était pas totalement décédé, un doute subsistait aux yeux de Dow. De plus, Thorndike s’est piqué par erreur au bras avec sa substance, s’en est injecté une partie, causant éventuellement une léthargie pouvant laisser paraitre à sa mort, tandis que la dose pour s’assurer du décès de Tom et sa conservation n’a pas été totalement injectée. Le jour de l’enterrement, alors que Sophie a l’impression que son frère est toujours vivant dans son cercueil, Thorndike s’écroule et meurt de son injection maladroite. Ils sont tous les deux enterrés, aux dires de Dow le fou vivants, sans que personne ne prête attention à lui. Le soir de l’enterrement et tout les soirs, Sophie croit voir revenir la silhouette de Tom, tandis que Dow reste persuadé qu’ils sont encore vivants.


Le Dernier Examen

Le scientifique biologiste Alfred Clarendon passe le début de sa carrière à étudier de part le monde les différentes fièvres mortelles s’attaquant à l’homme, et obtient une certaine renommée ayant trouvé un antitoxine contre la fièvre noire, une fièvre virulente. Il revient avec huit hommes très maigres du Tibet, et une sorte d’infirmier au physique singulier, soit-disant descendant de l’Atlantide, nommé Surama, en provenance d’Afrique du Nord. Originaire de New York, avec sa sœur Georgina qui s’amourache de son meilleur ami et futur politicien James Dalton, ils s’établissent à San Francisco, tandis que leur père n’avait pas approuvé cette relation. Ils retrouvent Dalton devenu gouverneur, qui reprend une relation suivie avec Georgina, alors qu’il fait nommer Clarendon directeur du service médical du pénitencier de Saint Quentin, lui laissant espérer des débouchés et applications conséquentes à ses recherches médicales, sur un public de patient élargi. cependant, une épidémie de fièvre inconnue s’abat sur l’établissement, alors que Clarendon la déclare par erreur non-contagieuse. la fièvre se répand aussi sur la ville, mettant la réputation du biologiste en défaut. Il est accusé de laisser la maladie se développer chez ses patients afin de l’étudier et toute une série d’articles fallacieux sortent à sont sujet dans la presse. Dalton continue à lui faire confiance et lui demande la main de Georgina, mais il refuse, celle-ci demande alors à Dalton de patienter un peu, et Clarendon se fâche avec lui. Alors que les lois de l’État viennent d’évoluer, et ne laisse plus au gouverneur le soin de décider des personnes à placer à la direction des établissement d’État, le subalterne de Clarendon, docteur Jones, jaloux et envieux de sa place, dévoile au directeur de la prison que Clarendon ne soignent pas certains malades, puis après une confrontation peu habile de ce dernier avec ce directeur, il est renvoyé de ce poste. Après une période d’abattement et d’inaction, il reprend ses expériences chez lui dans une clinique improvisée, mais est rapidement limité par les animaux cobayes qui viennent à manquer. En accord avec Surama, il décide d’utiliser un tibétain comme sujet d’expérience, Tsampo, mais Georgina les entend en discuter et est prise d’effroi par ces agissements, d’autant plus que leur chien tombe malade et Surama l’amène à la clinique pour le faire traiter, ce qui la pousse à chercher de l’aide, auprès de Dalton, qu’elle fait revenir de Sacramento. Elle décide de se rendre à la clinique qui lui est interdite, et entend à nouveau des conversations qui la choquent, une évocation de pouvoirs occultes, le chaos rampant Nyarlathotep tandis que les tibétains ont tous disparus. De retour à la maison, elle perd connaissance alors que Clarendon l’a rejoint et veut lui injecter soit disant de la morphine et lui propose de se sacrifier pour la science. Dalton arrive et provoque un choc chez Clarendon en lui montrant un article du docteur Miller, un professeur qui a soit-disant trouvé un remède contre les fièvres, sujet d’étude de Clarendon. Il confesse alors toute la vérité sur ses agissement et la fièvre. Si au départ il cherchait bien un remède, il a rencontré dans les coins reculés de la Terre divers peuples aux pratiques occultes, et en dernier recours auprès des Touaregs, qui ont fait resurgir Surama de la fin des temps, qui n’est pas humain et qui a ramené sur Terre cette maladie. Ainsi, plutôt que de la soigner, Clarendon n’a fait que propager la fièvre noir, dans une folie destructrices et criminelle. Dalton le veille toute la nuit pendant des phases de lucidité et de délires, mais Clraendon s’injecte la maladie, il lègue ses écrits à Miller, et demande à Dalton de bruler sa clinique et tout ce qu’elle comporte, Surama compris. Dalton se réveille après un assoupissement, alors que la clinique et en feu et est complètement détruites dans des flammes aux apparences surnaturelles, laissant des cendres parmi lesquelles sont confirmée les reste de Clarendon, et une créature difforme dont le crane ressemble à celui de Surama. Par la suite Dalton et Georgina se marient, et Miller trouve un remède contre les fièvres.


L’Exécuteur des hautes œuvres

Le narrateur expert-comptable et enquêteur pour Tlaxcala Mining Cy, société minière exploitant des mines au Mexique, est mandaté par le patron McComb pour retrouver Arthur Feldon un employé du site mexicain n°3 dirigée par Jackson, disparu et parti avec des papiers importants. le narrateur pat en train jusqu’à Mexico, mais le train tombe en panne et l’oblige à s’arrêter et prendre une petite correspondance. Il monte dans un compartiment pour la nuit, mais aperçoit rapidement qu’il n’est pas vide ; un homme lugubre, au visage hideux, terrifiant, est dans un coin, si bien qu’il a peur aussitôt pour sa vie. Il commence à faire connaissance avec lui, et ressent des dangers pour sa survie, si bien qu’il prend son revolver, mais l’homme lui saute dessus. L’inconnu continue à lui parler et lui explique qu’il est l’inventeur d’un dispositif permettant de mettre à mort des humains, « l’exécuteur électrique », mais la chaise électrique a été préférée par les autorités, plaçant son invention au rebus et aux oubliettes de la science, à son grand regret, provoquant chez lui amertume, désir de vengeance et entêtement à prouver la supériorité de sa machine. L’homme montre sa machine au narrateur, sorte de masque relié à une valise, qu’il se la met avant de tenter d’obliger le narrateur à l’essayer, évoquant les mythologie de la région comme Quetzalcoatl ou Huitzilopotchli. Ce dernier tente de perdre du temps pour atteindre le terminus et empêcher son exécution, en discutant, rédigeant un testament, puis des lettres à l’intention de cet inconnu. En dernier recours alors qu’il doit mettre le masque mortel pour l’essayer, le narrateur commence à évoquer des rituels mexicains, dans lesquels ils place aussi Ya-R’lyeh ! Ya-R’lyeh ! Cthulhu fhtagn ! Shub-Niggurath ! Yog-Sothoth : ce qui a pour effet de placer l’inconnu dans une transe, puis sa machine se déclenche dans des lueurs surnaturelles tandis que le narrateur perd connaissance. Il se réveille seul dans le wagon, entouré d’un public étonné de le trouver ahuri et esseulé. À la mine, Jackson lui dévoile que Feldon a été retrouvé mort, avec une sorte de cage métallique électrifiée sur la tête, qu’il ont retrouvé cramoisie. Examinant la dépouille, le narrateur revoit la même valise qu’il a vu dans le train, retrouve les feuillet du testament qu’il a dirigé et son arme personnelle.


La Malédiction de Yig

Un couple de l’Arkansas se rend en Oklahoma, Audrey et Walker Davis un ethnologue pour s’installer dans la région. Walker depuis son plus jeune âge a une peur maladive des serpents et au cours de son histoire et de ce périple, il a l’occasion d’apprendre au sujet des mythes et légendes entourant les serpents Quetzalcoatl et la malédiction de Yig, qui prédit malheur à ceux qui maltraite ses progénitures. Partout où ils passent, en territoires indiens, font appels à des shamans ou prêtres indiens pour obtenir des talismans, des incantations et des sorts pour les protéger des serpents. Walker fait très attention à camper loin de ces éventuelles créatures, mais un soir, Audrey trouve derrière le tente un nid de jeunes serpents à sonnette qu’elle écrase sauvagement avec la crosse d’un fusil, au grand désarroi de son mari. Il s’installe près d’une petite ville et commence à vivre, ou à fréquenter les voisin. Un soir après une fête, il entendent des bruits, que Walker pense être des serpents, et dans le noir complet, il tombe et meurt, quant à Audrey elle est retrouvée par sa voisine, mourante et ne pouvant que siffler. Dans la pénombre et la panique, elle a pris la hache pour se protéger mais a dépecé son mari, tandis que des serpent sont apparus. Elle a été probablement piquée par les serpent, elle meurt quelques temps après, après avoir mis au monde trois enfants, dont deux sont morts. Dans un asile à Guthrie le Dr McNeill raconte ainsi cette histoire au narrateur, et lui montre une sorte de créature à moitié humaine, ressemblant à un serpent qui glisse sur le sol, le seul survivant des enfants d’Audrey et Walker.


La Chevelure de Méduse

Le narrateur se rend vers Cap Girardeau dans le Missouri pour visiter, mais se perd ; Il voit une veille maison coloniale qu’il croit abandonnée sur une propriété dans laquelle il pénètre. Il rentre et y trouve un vieil homme nommé Antoine de Russy, à qui, après un accueil chaleureux, demande asile pour une nuit car repartir dans son cabriolet alors que l’orage gronde n’est pas une bonne idée. Antoine lui raconte alors son histoire et celle de la maison Riverside, sa descendance d’une famille de planteur installée cent ans plus tôt, sur une plantation avec deux cent esclaves noirs. Il fait part de l’éhitage de la maison de la part de son grand-père, de son mariage, puis de la naissance de son fils Denis qu’il envoie étudier à Paris à l’adolescence. Denis y fait connaissance de Frank Marsh un jeune étudiant comme lui, et artiste à ses heures, qui lui fait connaitre une organisation étranges s’adonnant à des pratiques et croyances occultes, dirigée par une certaine Tanit-Isis, Marceline Bédart, centrée sur le culte de Méduse et sa chevelure mythologique. Denis tombe sous le charme, ils se marient rapidement, et viennent habiter à Riverside. Antoine reste sur la réserve concernant Marceline et son aspect, et accepte le choix de son fils qui semble comme hypnotisé par cette fille à la chevelure superbe, semblant parfois se natter toute seule. Mais Marceline laisse paraitre que la relative richesse de Denis n’est pas de son goût puis différents histoire commence à se produire, notamment des complications avec les esclaves, sauf avec Sophobisne, une sorte de sorcière noire. Denis décide de faire venir Frank Marsh, Antoine repère la complicité entre Frank et Marceline, et apprenant qu’il veut en faire une peinture, il demande à l’un de ses employés de convoquer Denis à New York pour l’éloigner temporairement. Frank fait une peinture pendant plusieurs, semblant tomber sous l’emprise de son modèle. Denis rentre à l’improviste, ayant compris que sa femme est diabolique, voyant le tableau de son ami, il la tue, la scalpe, puis Frank est tué par la chevelure s’apparentant à des serpents, par une tresse qui l’étrangle. Antoine découvre le drame, et le tableau diabolique semblant être vivant de sa bru en décomposition, avec ses cheveux démoniaque dans un théâtre déroutant. Antoine et son fils se battent, Denis meurt, alors qu’il lui demande de tout bruler. Il enterre les corps à la cave, brule tout, mais Sophy se rend régulièrement à la cave, régulièrement des corps semblent en sortir et des sortes de serpents s’en faufiler. Après ce récit Antoine montre le tableau au visiteur qui panique et tire dessus avec son revolver provoquant la chute de cheveux. Il prend la fuite alors qu’il entend Sophy ou Antoine crier et sent comme une odeur de brulé. Ayant quitté la propriété une personne du coin lui dévoile que la maison n’existe plus et a été brulée cinq ou six ans plus tôt, alors que des histoires étranges s’y seraient déroulées, dont il ne peut en donner que quelques bribes, que le narrateur se garde de compléter.


Le Tertre

Dans la ville de Binger en Oklahoma, un tertre est victime de légendes et de contes obscurs. Le monticule serait hanté par deux êtres humains d’origine indienne, le jour par un homme, et la nuit par une squaw ayant la particularité de ne pas avoir de tête, apparition plongée dans des âtres de lumière bleu. Les histoires les plus folles circulent, évoquant assassinat, alors que certains n’y croient pas et dont personne n’a jamais pu trouver entrée, sortie, bâtiment ou sépulture. Plusieurs explorations ont été tentées, comme un certain Heaton revenu comme fou parlant de Shub-Niggurath, mais qui meurt quelques années après, ou quelques années plus tard Lawton qui disparu en s’y rendant et réapparut plus tard, mais plus jeune de 40 ans, avant de mourir subitement, puis finalement les frères Ed et Walker Clay, dont l’un est revenu avec ses organes inversés, et sont mort, l’un s’étant suicidé. Le narrateur ethnologue rencontre Clyde Compton qui a participé à l’une des exploration infructueuse, et lui livre cette histoire. Il prépare son expédition, rencontre un chef indien local Aigle-Gris, qui lui donne un talisman magique ancien à l’alliage inconnu et avec des hiéroglyphes inconnus dessus, et sur une face une sorte de serpent, et un monstre marin à tête de pieuvre sur l’autre. Le narrateur voit bien un homme indien en parure doré portant les même hiéroglyphes que son talisman, mais quand il gravit la montagne, il disparait et ne se remontre jamais. Il explore rapidement le monticule et voit qu’il est observé de loin par les villageois, mais ne trouve rien ; cependant dans une zone son talisman au cou est attiré vers le sol, duquel il finit par déterrer une sorte de cylindre du même métal inconnu que sa breloque, dans lequel il trouve un message en espagnol. Il rentre au village le soir et déchiffre le message et voit l’inscription Cthulhu.

Le parchemin raconte l’histoire au seizième siècle d’un explorateur espagnol nommé Panfilo de Zamacona partit du Mexique pour l’Amérique du Nord, d’abord sous les ordres un autre explorateur espagnol nommé Coronado, en quêtes de métaux précieux comme l’or et l’argent et peu enclin à écouter des récits mystérieux et peut-être prometteurs. Zamacona fait la connaissance d’un Amérindien nommé Charging Buffalo qui lui dévoile l’existence dans la région de Wichit au Kansas de porte immémoriales donnant l’entrée vers un monde souterrain gigantesque, orné à l’effigie de Yig et Tulu (dieu-serpent et Cthulhu). Pendant plusieurs jours, ils s’infiltrent de plus en plus profondément dans ce dédale de souterrains indiqué par Charging Buffalo, quand ils atteignent une sorte de dégagement, donnant accès à un monde étrange bercé de cette lumière bleue, qui pousse l’indien à rebrousser chemin, effrayé par cette zone où il n’est jamais allé plus loin. Zamacona continue son exploration dans cet univers étrange et surnaturel, il trouve un médaillon, semble-t-il en or, celui que Aigle-Gris a donné au narrateur, puis aperçoit au loin un troupeau de bêtes au loin qu’il ne peut identifier. Il découvre un temple dans lequel il rentre, selon lui bâtit en or massif, plutôt le même métal inconnu que le talisman, et découvre les vestiges de civilisations ,et des ornements à l’effigie de Yig et Tulu. Zamacona déclenche une sorte de mécanisme, entend le troupeau s’approcher, puis des pas résonner et rentrer dans le bâtiment tandis qu’il s’endort ou perd connaissance. Zamacona fait l’étrange mais pacifique connaissance d’une vingtaine d’individus du peuple extraterrestre Xinaian, autrement nommé K’n-Yan, originaire de la lointaine espace, adorateurs de Cthulhu et descendants des Anciens. Il découvre qu’ils communiquent par télépathie, et sont capables de téléportation. Cette civilisation appelée Tsath installée près du pôle sud et de Kadath, a d’abord prospéré puis a asservi une autre race de créature appelée Yoth monde dominé par la lumière rouge. Les Tsath firent des expériences, croisement de Yoth avec des créatures animales extraterrestres, des yoth plus ou moins mutilés, transplantés ou amputés, pour en faire tous des esclaves dociles. Ces civilisations ont vécu de nombreuses années, puis on fusionnées, puis périclites, avant de se réfugier sous terre par crainte de la submersion. Ils décident alors de garder Zamacona avec eux pour leur apprendre sur les civilisations vivant à la surface de la Terre, et pour palier à d’éventuelle nouvelle venue, ils instaurent la présence obligatoire de surveillants à certaines portes donnant accès à ce monde souterrain. Zamacona est pris en main par Gll’-Hthaa-Ynn, et introduit dans la cité Tsath, où il est initié à cette vie, à s’occuper d’activités de cette société, accompagné par un contingent en permanence de six hommes et femmes « de compagnie ». Quatre années s’écoulent mais le narrateur est un peu déçu par cette civilisation et son mode de vie, il décide de s’enfuir, mais est stoppé par les surveillant, il décide de commencer à écrit son histoire, tente d’apprendre la téléportation. Il réussit à convaincre une femme quelconque de son groupe d’affection, nommée T’la-Yub de l’aider dans une nouvelle tentative d’évasion, alors qu’elle s’est plus ou moins éprise de lui. Elle dévoile que sa famille connait et a caché un passage oublié vers la surface, non-surveillé, donnant sur un petit tertre. Ils organisent le départ, mais ils sont arrêté. Zamacona est relâché et amnistié de par ses origine, mais T’la-Yub est mutilée, la tête coupée, et est comme reprogrammée, docile, à la surveillance la nuit du passage qu’elle a contribué à dévoiler. Zamacona est sous la menace de sanction identiques, soumission et surveillance, seulement s’il recommence une tentative d’évasion, et se perfectionnant dans l’art de la téléportation, il retente l’opération

Le narrateur troublé, pense alors à un faux subtil, puis retourne le lendemain sur le tertre, où il s’aperçoit que ses outils ont disparus. Il creuse plus profondément que la veille et trouve l’entré puis pénètre la caverne dans laquelle il trouve une torche datant d’une dizaine d’année d’une des précédentes explorations. Il commence à croire à la véracité du récit quand il trouve des ornements et sculptures à l’effigie de Cthulhu et Yig, mais une chose chose effroyable lui fait quitter les lieux en panique, les K’n-Yan qui seraient plu ou moins dématérialisés, puis finalement le corps démembré et sans tête de Zamacona avec écrit sur le torse en espagnol « Enfermé par la volonté de K’n-Yan dans le corps sans tête de T’la-Yub ».


Deux bouteilles noires

Hoffman Vanderhoof se rend à Daalbergen, un village sinistre dans les montagnes Ramapo de New York, où l’épicier Mark Haines l’a convié à venir en raison de la mort de son oncle Dominie Johannes. Hoffman se rend à l’église lugubre après les marais, où il rencontre le sacristain Abel Foster que son oncle Johannes Vanderhoof avait pactisé avec le diable, faisait des sermons sur les démons ; tous croyants comme l’église lui avait demandé de changer tout ca, mais il n’en a rien fait et continué, si bien qu’il a été renvoyé mais continuait à habiter le presbytère, roder à l’église, tondre sa pelouse, et a été vu par le sacristain en train de parler à la tombe de Dominie Slott. Un jour, Foster creuse un tombe, enterre un cercueil et annonce la mort de Vanderhoof. Pendant ce temps la croix de la tombe de son oncle se met à bouger, Foster avoue alors avoir utilisé les incantations et formules qu’il maitrise lui aussi, que Dominie Slott avait écrites, que Johannes utilisait. Foster dévoile aussi qu’il a emprisonné l’âme des deux hommes dans deux bouteilles noires, et c’est pour cela que chaque soir, le corps tente de sortir de terre pour récupérer l’âme. Pendant ce temps, Johannes est sorti de la tombe, l’une des bouteilles noires se brise et une voix d’outre-tombe déclare que Slott avait volé son âme 200 ans plus tôt. Foster meurt en s’effritant. Le lendemain Hoffman revient sur les lieux avec un villageois et voient une forme pouvant être Johannes qui tient la seconde bouteille noire et qui recherche son âme.

Commentaires

C’est un recueil de nouvelles fantastiques, collaborations, corrections, ou nègre littéraire.