Ne pariez jamais votre tête au diable10 minutes de lecture

Couverture (Fair use)

Le Club de l’In-folio

Un homme devient le directeur d’un club littéraire.


Le Duc de l’Omelette

Le Duc de l’Omelette, couché sur une ottomane, mange un ortolan mais s’étouffe avec une olive, puis meurt et se retrouve en enfer où il fait face à Belzébuth, dans un appartement sans toit qui laisse apparaître des nuages couleur feu, agrémenté de quelques statuts et possédant une seule fenêtre donnant sur un paysage en feu. Il passe alors un marché avec le diable, retrouver la vie s’il gagne au jeux de cartes l’écarté, sinon il est doublement maudit. Le Duc de l’Omelette triche et réussit à gagner.


Perte de souffle

Un homme a perdu son souffle et le cherche chez lui mais ne le trouve pas, puis réussit à partir sans éveiller les soupçons de sa femme. Il prend une diligence dans laquelle les autres passagers semblent s’apercevoir de son problème de santé et le mettent dehors. Dans cette ville, il rencontre un chirurgien qui tente de le soigner sans succès, puis voit l’exécution d’un voleur qui lui ressemble pour deux gouttes d’eau. Il est arrêté et pendu à sa place, mais ne meurt pas puisqu’il n’a plus de souffle à couper. Enterré vivant dans un cercueil, il réussit à sortir et trouve dans celui d’à côté un homme, son voisin qui semble doué de beaucoup de souffle. Celui-ci confesse alors que son souffle à doublé lorsqu’il est passé devant chez lui et a connu une crise d’épilepsie. Le protagoniste réclame alors qu’il lui rendent son souffle.


Bon-Bon

Bon-Bon est un restaurateur établi à Rouen, renommé pour la qualité de sa cuisine, mais aussi un philosophe émérite. Un jour, alors qu’il est alcoolisé, il voit apparaître un homme étrange sans yeux, dont il comprend que c’est le diable. Celui-ci confesse qu’il mange les âmes, puis Bon-Bon lui propose la sienne, mais le diable refuse et s’en va. Lorsque Bon-Bon tente de lui envoyer une bouteille, le sort fait tomber le lustre sur sa tête.


Le Rendez-vous

À Venise, un homme voit la marquise malencontreusement laisser tomber son fils dans l’eau . Mais celui-ci est repêché par un canotier qui le retrouve vivant. L’homme rencontre rencontre plusieurs fois et discute avec le mari de Marchesa di Mentoni, lorsque celui-ci meurt lorsqu’il apprend la mort de sa maîtresse la marquise par empoisonnement.


Mystification

Le baron Ritzner Von Jung arrive dans le collège avec une réputation de rigueur et de sérieux inégalée. Le narrateur découvre que l’homme usurpateur est doué de fantaisie. Chaque soir lui le narrateur et ce dernier se réunit dans leur chambre pour des fêtes mémorables. Un jour le dénommé Hermann s’oppose à lui, le narrateur servant par la suite d’intermédiaire entre les deux personnes.


Comment écrire un article à la Blackwood

Dans un faux un essai sur le ton humoristique, miss Psyché Zenobie se présente rapidement avant de relater, pour présenter la façon dont il faut écrire pour être publié dans le journal Blackwood, son entretien avec M. Blackwood. Ce dernier évoque alors plusieurs œuvres parues dans ses pages, puis lui conseille de trouver une péripétie hors du commun que son protagoniste pourrait subir, puis il lui décrit les différents tons ou styles rédactionnels qu’elle pourrait employer, avant d’évoquer le remplissage, en décrivant ce qu’il appelle des faits piquants, et des expressions piquantes.


Une Situation difficile

Psyché Zenobie se promène avec sa chienne Diane et son domestiques noir Pompée à Edina, où est le pénètre une église et grimpe en haut du clocher. Elle passe alors la tête dans un mécanisme et dans le trou qui s’avère celui de l’horloge. Elle y reste de nombreuses minutes à observer le paysage quand l’aiguille des minutes tourne et vient irrémédiablement lui couper le cou. Elle perd d’abord ses yeux, exorbités, puis sa tête se dérache et tombe. La tête comme le corps veulent survivre, et se demandent qui des deux est en réalité Psyché. Le corps réussit finalement à se débloquer, poussant Pompée horrifié à s’enfuir, lorsqu’elle se rend compte que son chien a été dévoré par un rat.


L’homme qui était usé

Le narrateur rencontre le général en retraite John A.B.C. Smith, héros d’une bataille contre des Indiens. Quand il rentre dans la pièce, il n’aperçoit qu’une petite chose sur le sol qu’il ne reconnait pas, mais l’assistante générale lui apporte petit à petit chacun de ses membres amputés et les fixe à son corps, il finit par lui placer ses faux yeux, ses fausses dents et son faux palais, le narrateur comprend alors qu’il est l’homme usé.


L’homme d’affaires

Alors qu’il est enfant, la nourrice du narrateur le pousse contre le rebord du lit, ce que lui fait apparaître une bosse provoquant surtout le développement chez lui du système et la régularité qui ont fait de lui selon lui un homme d’affaires. Après une première expérience infructueuse chez un quincailler chez qui il est placé par son père, il embauche à seize ans chez un tailleur où il devient une publicité vivante mais il est rapidement renvoyé. Il monte sa propre affaire appelée Agressions oculaires qui a pour but de construire des spites houses à côté de bâtiment en construction par des promoteurs, afin de les revendre au prix fort. Malheureusement il est renvoyé. Il manque une société appelée Coups et Blessures visant à prouver que des bagarres et demander des dommages et intérêt, mais qui ne rapporte pas grand-chose. Par la suite il lance Éclaboussure de boue puis fusionne avec Éclaboussure de chien, avant de travailler dans les Orgues de Barbarie. Face aux gars trop peu élevé, il lance alors le service Fausse Poste, pour lequel il écrivait de fausses lettres et faisait payer le port au destinataire. Finalement, il lance Élevage de chat qui a pour but de récolter le plus grand nombre de queues afin de toucher la récompense correspondante visant à limiter leur prolifération.


Pourquoi le petit Français porte la main en écharpe

Patrick O’Grandison est charmé par la voisine Mme Mélasse, qui semble également être intéressée par lui. Cependant, il s’aperçoit qu’un Français, Maître-de-Dânse s’intéresse à elle. Lorsqu’il le rencontre chez elle, il croit finalement tenir la main de celle-ci, mais c’est en réalité celle du français. Il lui sert la main très fort et l’écrase jusqu’à le blesser.


Ne pariez jamais votre tête au diable

Le narrateur est exaspéré par les critiques littéraires qui prétendent qu’il n’a jamais écrit une œuvre contenant une morale. Il dévoile alors« Ne pariez jamais votre tête au diable », l’histoire de Toby Dammit, un homme qui avait la fâcheuse habitude de tout le temps vouloir parier sur tout et n’importe quoi. Il conseille son ami et lui demande d’arrêter, mais celui-ci refuse et il se battent jusqu’à qu’il appelle la police. Dammit finit par lancer « je parie ma tête au diable ». Par la suite, lorsqu’ils sont sur le point de traverser un pont sur lequel figure un tourniquet, damids Paris sa tête au diable qu’il peut sauter par-dessus. Il tente alors l’opération, malgré la présence d’un vieil homme obscur, éventuellement le diable, mais la présence d’un câble ou d’un morceaux de fer lui tranche la tête et il meurt. Le narrateur fait enterrer son ami, mais les transcendantalistes ne veulent payer la facture, le poussant à déterrer le corps pour revendre les morceaux comme nourriture pour chien.


La Semaine des trois dimanches

Le narrateur Robert demande à son oncle M. Rhumagogo l’autorisation de se marier avec sa bien-aimée Kate sa fille. Il accepte de lui donner une date, la semaine des trois dimanches, ne voyant pas ce mariage d’un bon œil. Trois semaines plus tard, deux de leurs amis capitaines de bateau, Pratt et Smitherton reviennent au bout d’un an de voyage et se présentent à eux. L’un est parti vers l’ouest faire le tour du monde, tandis que l’autre est parti vers l’est pour la même chose. Ils expliquent alors à l’oncle que le décalage temporel créé par le voyage à décalé pour eux d’un jour la date, présentant le jour même comme dimanche pour Pratt, le lendemain le vrai dimanche pour la famille, et le surlendemain le dimanche suivant pour Smitherton. Désabusé, Rhumagogo autorise son neveu à se marier avec Kate quand il le désire.


De l’escroquerie considérée comme une des sciences exactes

Le narrateur se lance dans un faux essai humoristique décrivant la structure d’une arnaque puis donne près d’une dizaine d’exemples plus ou moins développés.


Matin sur Wissahiccon

C’est un essai dans lequel l’auteur décrit la beauté du ruisseau Wissahiccon et de ses alentours au nord de Philadelphie.


Les Lunettes

Napoléon Bonaparte Froissart, d’une famille d’origine française, prends le nom de Simpson, afin de bénéficier d’héritages familiaux. L’homme bien fait de sa personne mais souffrant quelque peu d’une vision détériorée, sera au théâtre avec son ami Talbot, où il découvre une femme d’une beauté exquise. Il tombe aussitôt amoureux de Mme Eugénie Lalande cette riche veuve arrivant de Paris. Quelques jours après, il la rencontre à nouveau, puis lui écris une lettre puis il se rend compte ou fasciné par sa beauté et lui demande sa main, ce qu’elle accepte. Elle est un peu gênée en raison de son âge, mais celui-ci s’imagine que quelques années seulement ne posent pas de problème. Avant tout, elle lui fait promettre de porter des lunettes dès qu’ils sont mariés, une condition qu’il accepte sur le champ. Le jour de son mariage, il met alors des lunettes et se rendre compte que Eugénie en réalité 82 ans et un visage ridé, et sans dent. Il est alors désespéré en apprenant par ailleurs que Eugénie et de la famille Froissart donc l’une de ses ancêtres, mais celle-ci dévoile que son ami Talbot est venu la prévenir et avait arrangé la situation. Eugénie était en fait venu en Amérique pour marier sa propre descendante Stéphanie Lalande, d’une beauté immense, qui s’était substitué à elle quand il lui a fait la cour. Le mariage c’est en fait déroulé entre Stéphanie et lui et non avec Eugénie, son arrière-arrière-grand-mère.


L’Enterrement prématuré

Le narrateur livre son sentiment d’inquiétude au sujet de personnes enterrées vivantes, tombées en catalepsie pour quelques heures ou quelques jours seulement, puis enfermées en cercueil ou en tombeau, puis sont mortes sans que personne ne le sache. Il relate alors plusieurs événements de ces péripéties dans le monde, avant de s’inquiéter pour lui-même et de livrer son propre cas, dans la mesure où il tombe régulièrement en catalepsie, pour des durées de quelques heures plusieurs semaines et fait des rêves macabres concernant cet état. Il demande alors à ses amis de lui promettre de ne pas l’enterrer avant que son corps commence à dépérir, preuve irréfutable de sa mort, et fait également molletonné son cercueil pour un éventuel confort, et même installer un système d’ouverture depuis l’intérieur du tombeau pour pouvoir sortir en cas de captivité fortuite. Un jour après une longue période de sommeil, il se réveille et comprend qu’il n’est pas dans son cercueil. Alors qu’il se met à crier se croyant mort et en enfer, mais des hommes lui demandent de se calmer puis il comprend par la suite la situation. Parti loin de chez lui, il est sur un bateau transportant la terre qui l’a senti et lui a fait croire à un ensevelissement et il est dans une cabine étendu sur un lit et vient de reprendre connaissance.


La Caisse oblongue

Le narrateur embarque sur un navire pendant plusieurs jours de navigation depuis Charleston jusqu’à New York. Il rencontre son ami Wyatt qui voyage avec ses deux sœurs, sa femme avec qui il vient de se marier, mais surtout avec une grande caisse en bois de forme oblongue qui a la fâcheuse particularité de sentir mauvais. Il pense d’abord que Wyatt cherche à amener secrètement une œuvre d’art, une reproduction de la Cène de Léonard de Vinci. Mais il est intrigué par plusieurs détails, il a repéré que sa femme va dormir tous les soirs dans une cabine annexe seule, et chaque nuit, il entend des bruits probablement provoqués par l’ouverture de la boîte en bois, suivis de quelques sanglots. Au bout d’une semaine, le navire essuie une tempête et sur une mer agitée connaît une avarie. Tous les passagers montent dans les chaloupes et rejoignent la côte. Wyatt perd alors le contrôle et veut à tout prix retourner à bord chercher sa boîte. Il réussit à la sortir et à l’attacher à une corde et à lui-même et saute à l’eau. Malheureusement, il disparaît à jamais et meurt probablement noyé quand la boîte a coulé. Par la suite, le capitaine dévoile alors le narrateur que la boîte contenait le corps en décomposition de sa femme décédée la veille du départ, qu’ils avaient pris à bord secrètement pour ne pas apeurer tous les autres passagers. La femme de chambre s’était fait passer pour sa femme.


« C’est toi l’homme »

Le riche Shuttleworthy qui habite Rattlebourg a mystérieusement disparu, au grand désarroi de son ami Monsieur Goodfellow avec qui il boit tous les jours une caisse de Château Margaux. Rapidement, son neveu Pennifeather est soupçonné de l’avoir assassiné. Des recherches sont effectuées dans toute la région mais seulement quelques preuves accusant cependant irréfutablement son neveu sont trouvées. Il est arrêté et condamné à mort, puis quelques jours après Goodgellow reçoit une caisse de vin soit disant envoyer par son vieil ami décédé. Lorsqu’il ouvre en présence de nombreuses personnes du village qu’il a invité, il voit apparaître le corps de Shuttleworthy qui l’accuse « c’est toi l’homme». Il avoue alors le meurtre, puis le narrateur dévoile qu’il est l’instigateur de cette mise en scène, ayant compris que Goodfellow est le tueur ayant placé des faisses preuves contre le neveu avec qui il s’était fâché auparavant.


La Vie littéraire de M. Machin Truc

Monsieur Machin Truc veut embrasser une carrière littéraire et pour cela puisse différents vers dans plusieurs livres qu’il réunit ensemble, et les envoie à trois différentes revues, texte signé sous le nom de Opposeldoc. Aucune des revues ne publient son œuvre, mais celles-ci critiquent viruleusement sa création. Il décide alors d’écrire un poème inédit, composé seulement de deux vers qui n’ont pas vraiment de sens, signé SNOB. Contre toute attente, tous les différents journaux semblent apprécier cette œuvre, et les critiques deviennent progressivement dithyrambiques. Fort de cette réussite, il finit même plus tard par racheter tous les journaux et les fusionner en un seul pour en devenir le directeur et rédacteur en chef à succès.


Le Miille Deuxième Conte de Schéhérazade

Le livre Estceounonainsi rapporte une huitième aventure vécue par Sindbad le marin, racontée au roi par Schéhérazade dans Les Mille et une nuits. Sindbab rencontre en mer un monstre marin horrible et gigantesque, doté de nombreux yeux qui lance des jeux de flamme, et qui porte sur son dos des petits animaux semblables à des hommes. Simbad et capturé par l’un de ces hommes vermines, il est ramené sur le dos de la bête, puis parcourt les océans qui ne sont pas plat. Il découvre différentes îles étranges, fabriqué ne par des sortes de chenilles ou avec des forêts de pierre, avec deux grottes contenant des palais immenses, des montagnes élevées sur laquelle coule des torrents de métal fondu, des terres avec des lacs au fond desquels pousse de la végétation ou d’autres avec des jardins éternellement fleuris provoquant une mort inévitable. Sindbad voit également différents animaux monstrueux, ou plante poussant dans les airs, mais aussi de nombreux hommes ou femmes ou magicien plus merveilleux les uns que les autres aux capacités des plus déroutantes. Le roi ne croit pas à toutes ces histoires et renvoie sa femme à son exécution.


Le Sphinx

Un homme est en vacances dans le cottage d’un ami sur le bord de l’Hudson. Après une tempête, il voit sur le versant de la montagne qui leur fait face une espèce de monstre terriblement hideux et gigantesque. Lorsqu’il confie finalement cette vision à son ami, lot de cellule lui confie que toute interprétation dépend des circonstances dans laquelle il se trouve. En réalité, le visiteur en vacances à a vu un insecte descendants sur la fenêtre et l’a pris pour un animal gigantesque, alors qu’au loin aucune créature n’est présente.


Mellonta tauta

Le narrateur transpose la traduction de manuscrit retrouvé dans une bouteille jetée à la mer. Ce message est écrit par une personne à bord d’un ballon, qui s’ennuie et promet de transmettre ce sentiment à chaque ligne à son destinataire. Il donne ainsi son impression sur le voyage en cours qui lui déplaît fortement, mais il donne également son avis sur certains événements, réalité ou penseurs du passé sur lesquels il pose des questions, un récit qui donne globalement l’impression d’une satire sociale.


Von Kempelen et sa Découverte

La police, intriguée par les récents achats onéreux de Von Kempelen, se rend chez lui et l’arrête, sous prétexte de fabrication de fausse monnaie. Chez lui, il ne trouve pas de matériel permettant de confirmer cette pratique. Cependant, ils découvrent du matériel de chimie dont des creusets avec du plomb, et des substances chimiques inconnues. Sous son lit, ils mettent la main sur une quantité importante de métal supposée être du cuivre. Après quelques analyses, le métal s’avère être de l’or que l’homme a créé grâce à la pierre philosophale, en transformant le plomb en métal précieux,. Ceci a pour effet de relativiser l’intérêt de la ruée vers l’or vers la Californie aux États-Unis, et faisant chuter le cours de l’or et monter celui du plomb.


Ixage d’un paragrab

Un homme s’installe dans une ville et lance un journal dans laquelle il utilise de nombreuses fois la lettre O. Un concurrent lui fait remarquer et le meilleur défi de ne pas utiliser cette lettre. Il réussit même à lui dérober cette lettre d’imprimerie l’empêchant de l’utiliser. Il ordonne à son typographe d’utiliser la lettre X pour remplacer cette voyelle dans un texte agressif.


Le Phare

Un homme relate les premiers jours qu’il passe dans un phare.

Commentaires

C’est un recueil des dernières nouvelles écartées et non traduites par Baudelaire dans les trois premiers recueils.

Couverture (Fair use)

Également dans ma collection

C’est un recueil de toutes les nouvelles de Poe, contenant notamment celles non-traduites par Baudelaire, les essais et les articles, les notes de marge et les poèmes. Les traductions sont principalement celles des historiques Baudelaire, et Mallarmé pour les poèmes, mais certaines ont été remplacées au profit de traductions moins connues.

  • Contes, Essais, Poèmes
  • Edgar Allan Poe
  • 18e siècle
  • Robert Laffont – Bouquins (1990)
  • Traduction par Baudelaire, Mallarmé, et divers traducteurs
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