Rollerball5 minutes de lecture

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Rollerball

Jonathan E de l’équipe de Houston de Rollerball Massacre contre l’équipe de Londres, piste ovale de 50 mètres sur 30 aux virages relevés, canon à boules (comme celle du bowling) à près de 500km/h tirés dans le sens de la course des deux équipes, équipe de dix patineurs, cinq motocyclistes (175 cm3), cinq coureurs ou marqueurs gants et crosses, stades de 80 000 personnes, deux milliards de téléspectateurs à travers le monde comme à Melbourne, Berlin, Rio, ou Los Angeles, motos à l’extérieur plongent pour aider les marqueurs, alors que les patineurs bloquent ces derniers et déclenchent les combats, marquer des points et gagner transmettre la boule à une moto, les faire tomber , violence autorisée, pas d’arrêt, pas de remplacement durant deux heurs de jeu. mêlée générale, bagarre coups de poings et de pieds, cafouillis , morts, bras ou jambes cassées, motos abîmées ou prennent feu. Après un coup de poing magistral qui désintègre la mâchoire sous l’approbation du public du meilleur patineur Jackie Magee Houston gagne. Jonathan évoque les quinze années de son métier et l’évolution constante des règles pour fourbir un spectacle de plus en plus violent. Barcelone joue sans limite de temps jusqu’à l’incapacité de tous les joueurs à marquer, ou alors d’autres règles permettent les parties de Rollerball mixtes ou obligent à utiliser des tenues qui se déchirent facilement pour augmenter l’attrait du jeu, sinon est évoqué d’enlever le casque en cas de faute. Jonathan est l’un des meilleurs joueurs du monde, et très riche, et attire toute les femmes qu’il désire, il fut marié avec Ella et vie avec une femme nommée Mackie, une bimbo, puis s’en sépare et se met avec un anglaise nommée Daphné ; son ami Jim Cletus l’aide à vérifier la validité des ses actions en jeu. Son équipe appartient à un conglomérat d’exploitation du pétrole appelé ENERGIE, dirigé par M. Bartholomew ; ceux-ci, ENERGIE, TRANSPORTS, ALIMENTATION, LOGEMENT, SERVICES et LUXE, dirigent et décident tous les aspect de la société et de la vie. Il encadre et apprend ce sport son métier à des jeunes, puis décide de demander à Batholomew qu’il puisse étudier ou lire, afin de trouver ce quelques chose qui lui manque. Mackie le quitte, il vit sur les souvenirs de sa femme. Son équipe engage Moonpie, un combattant d’art martiaux asiatique pour perfectionner les coup porter et provoquer de meilleurs blessures. Un match à Mexico utilise des boules avec des trajectoires erratiques pour complexifier le jeu. Il sent son corps vieillir bien qu’il continue à tenir le haut niveau. À Tokyo, trois boules aléatoires sont mises en jeu, augmentant terriblement le danger, si bien que certains joueurs refusent de jouer ou feigne d’être blessés Moonpie et de nombreux joueurs trouvent la mort. Pour la finale de New York, quatre boules, des motos plus puissantes, un jeu sans limites de temps et le retrait du casque des joueurs peu agressifs sont les règles ajoutées. Il pense à la mort et demande à son ami de retrouver sa femme, et la revoit puis il joue la finale.


L’Ermite

Un certain Ossinger décide de vivre en ermite dans le ranch abandonné de son père dans le Montana à Notrh Folk. Il est livré une fois par semaine par Gammon le facteur et livreur qui récupère la marchandise chez Cone, gérant du magasin général. Mais Ossinger est un marginal qui ne parle pas, à personne et refuse l’aide que lui propose Cone. Ce dernier se renseigne sur son compte et apprend qu’il es triche mais sans revenus, et a fait 30 ans de prison. Devant la rudesse de sa vie, les hivers froid et exigeant, Cone se prend de pitié et rajoute dans ses colis, des choses supplémentaires, comme des livres ou un chiots. Quand des touristes passent sur sa société, Ossinger, déclare que la maison est hanté, plein d’ossements et de temps. Ossinger semble à plusieurs reprise comparer ou confondre la nature et son subconscient, comme s’il écrivait un journal intime de forme lyrique dans lequel il décrit ses pensées, sa vie précédente, le meurtre de sa femme le rejet de sa famille, et d’une certaine rédemption comprend ses erreurs. Il accepte alors l’aide et l’hospitalité de Cone qui lui offre un repas.


Les Feux du désir

À Chicago, un jeune homme passe les concours et devient pompiers professionnel. Il est obnubilé par le feu et sauver des vies, il reste en permanence à la caserne ou il vit et ne pense qu’à ca, ne sortant que pour les grosses interventions. Il se rend sur un premier incendie où il tente de sauver un homme et une femme qu’il connait, puis les jours suivant il tente de sauver une autre femme ; mais à chaque fois, il s’en sort alors que les victimes du feu périssent. Il en discute avec Max, qui minimise le problème. Pourtant le collège connait un incendie qui détruit le bâtiment, où il se rend et tente de sauver plusieurs filles qu’il a connu et une professeur également. Mais elle meurt toutes également, certains pense que cela peut être un déséquilibré qui commet des incendie volontaire, mais le narrateur remarque que c’est encore de ses connaissance, ces filles qui l’ont toujours repoussées, qui n’ont jamais voulu l’approcher ou nouer une relation intime avec lui. De plus, chaque intervention qui se termine par la mort, lui permet de les approcher, de les toucher ou de les voir, de près ou nue, certaine espérant ou suppliant son aide alors qu’il était invisible pour elles jusque-là, ce qui attise pourtant son désir. Quelques jours après, un nouvel incendie se déclare à l’hôpital où il intervient, Max déjà blessé meurt, des fille de sa connaissance aussi. Il conclut retrouver alors sa peur et son désir en même temps.


Le Mercenaire

Un homme tueur mercenaire raconte sa vie et ses états d’âmes, emprunt de nostalgie, ou d’une certaine légèreté. Il imagine une tuerie sur la plage d’un festival de cinéma.


Dans le trou bleu

Un homme nommé Homer Bogardus raconte sa vie à Poplar Bluff-La-Mystique où exercent de nombreux métiers et professionnels de l’ésotérisme, comme des sorcières, des vaudous, des voyants, des spirites, des astrologues ou des magiciens. Il dévoile sa vie, à Zeta et où il découvre ses dons, de télékinésie et part pour Poplar Bluff où il fait connaissance à la plus célèbre professionnelle nommée Tante Sybil, qui lui permet de rencontrer une jeune femme appelée Sally Ritchie. Il offre régulièrement ses spectacles aux touristes, disparaissant dans le Trou Bleu, ou bien fait apparaitre le fantôme d’un chien ou des serpents. Il côtoie là d’autres personnages comme Ralph le vampire de la ville. Puis il se rend à Cape Girardeau, d’où il doit disparaitre dans le Trou Bleu pour réapparaitre devant les caméras à Poplar Bluff. Mais lors de l’évènement, il se demande si quelqu’un va le rechercher avant sa disparition complète et définitive, puis disparait à jamais.


La Mélancolie du lanceur de poids

Toby Grogan un lanceur de poids coaché par Abraham Fain s’entraine beaucoup, atypique puisqu’il parle à son poids, à ses pieds et ses muscles, et part en compétition à Munich. Il fait pourtant la tournée des bars avec certains de ses admirateurs, puis le jour de la compétition, il ne respecte pas vraiment les consignes, il est disqualifié pour son premier lancer, puis la foule envahit le terrain, et lorsque celui-ci lance son boulet à l’extérieur elle le suit. Alors il ne fait que ramasser et lancer continuellement son poids et voyage dans toute l’Europe puis disparait à jamais.


La Cave

Johnny Breck est un plombier qui se rend chez Wendie, vivant en collocation avec plusieurs femmes. Il connait une phobie des caves et ne veut y pénétrer. Un soir, après des réparations, Wendie lui demande de s’expliquer sur sa peur des caves. Puis ils se disputent et terminent dans une orgie sexuelle puis descend à la cave pour réparer.


Le Météorologiste (conte théologique)

Le vieux météorologue nommé Pollux surveille la météo depuis le MAT, un poste d’observation, croit être Dieu, puisque le temps suit ses instructions, et qu’à chaque fois qu’il produit des bulletins météos farfelus, ils se produisent. Il se demande s’il est simplement humain ou immortel, mais se confirme être Dieu puisque puissant grâce à ses pouvoirs et esseulé et inaccessibles. Il produit divers tornades tempêtes ou ouragan ou neige pendant toute sa vie, puis finit par mourir. Il décède tandis qu’un froid glacial s’abat sur le pays.


Z comme Zola

Avery et John travaille dans une cuisine, ce dernier discute avec une employée Emma Bryant dont le mari Raymond étudie l’histoire depuis trois ans mais a raté son diplôme le matin même. Le suédois John, marié à sa femme Berta Olaf, est un peu atypique, et plus ou moins alcoolique, et mène comme une double vie dans laquelle il s’adonne à la lecture et de l’autre côté exerce un travail de cuisinier. Il noue une relation intime avec Emma et ont des relations suivies, tandis qu’il va à la bibliothèque pour des livres. Quand quelques mois plus tard Raymond obtient son diplôme, John est très énervé des changements à venir puisque Emma n’a plus besoin de venir travailler. Elle l’invite à la fête pour célébrer cette réussite, il hésite puis accepte ; un homme luit parle de littérature, mais il s’énerve puis le frappe ; Emma et lui parviennent à se retrouve dans une chambre et font l’amour, enivrés par l’alcool qu’ils ont bus, puis retournent à la réception, après avoir comparé leur relation à la littérature.


Le Roi de la brosse à reluire

Harry Neal un homme d’affaire réussit dans la vie grâce à une sorte de slogan, ne relatant pas forcément l’entière réalité. Il décide d’appliquer cette méthode à tout les domaine de sa vie et se présente alors comme le roi de la brosse à reluire. La Brosse à reluire (semble être ou est) un programme informatique qui produit des slogans ou textes permettant de vanter quelqu’un d’enjoliver les chose et de présenter sous un angle flatteur. Son entreprise grossit et toute toutes les classes de la société, célèbres ou anonymes, puis le concept est repris par d’autres comme des centres de formation de Brosse à reluire… Puis finalement, l’ordinateur ayant rédigé ce texte grâce aux notes de Neal se met à buguer.

Commentaires

C’est un recueil de nouvelles de science-fiction.