Tout Alice16 minutes de lecture

Couverture (Fair use)

Les Aventures d’Alice sous terre :

Alice, qui s’ennuie, est assise sur la pelouse du jardin avec sa sœur qui lit un livre qui ne l’intéresse pas. Subitement, elle voir passer un lapin pressé qui ne veut pas être en retard et qui regarde une montre à gousset. Elle le suit dans son terrier, mais tombe dans un puits immense, et fait une chute interminable. Durant sa chute elle trouve des placard et prend un pot, et a peur de terminer de l’autre côté de la terre. Elle pense alors à sa chatte Dinah, et se demande si elle mange des chauve-souris et vice-versa, puis termine sa chute sur un tas de feuilles mortes. Elle trouve un couloir où elle voit le lapin blanc et se met à le poursuivre, pour arriver dans une salle avec une table sur laquelle il y a une petite clef, mais toutes les portes de la salles comportent des serrures bien trop grosses. Elle trouve finalement une toute petite porte, mais trop petite pour elle, et lorsqu’elle retourne à la table elle trouve un flacon avec une étiquette portant l’inscription « Manges moi », ce qu’elle fait. Alice rapetisse, mais malheureusement, elle n’a pas pris la clef, puis sous la table elle trouve une petite boit dans laquelle elle y trouve un gâteau qu’elle manger et sui la fait grandir à plus de deux mètres et se met à pleurer mais prend la clef. Ne cessant de pleurer, elle fait apparaitre une petite marre de 10 cm de profondeur, puis aperçoit le lapin blanc qui fait tomber ses gants blanc et son bouquet de fleur avant de disparaitre dan les profondeur, puis Alice les ramasse. Elle se trouve étrange aujourd’hui et se demande si elle n’est pas une de ses copines, puis les effets du gâteau s’estompent, lui permettant de mesurer à nouveau 8 centimètres, mais elle tombe dans l’eau salée de ses larmes. Elle y rencontre une souris, qu’elle est à la limite de vexer et de lui faire peur en lui parlant de son chat, mais elles atteignent, la rive tandis que la marre se trouve peuplée de nombreux animaux comme un canard, un dodo, un lori, un aiglon et des animaux bizarres. Tous les animaux se retrouvent sur le bord, cherchant une solution pour sécher. LA souris raconte une histoire qu’il qualifie d' »aride » puis sur la proposition du dodo, ils se rendent tous à l’abri dans une maisonnette autour d’un feu et la souris raconte une nouvelle histoire. Mais Alice reparle à nouveau de sa chatte et ses qualité de chasseuses de souris et d’oiseaux, provoquant la fuite de toute la compagnie.

Alice revoit alors le lapin qui l’interpelle et lui demande d’aller chercher ce qu’il a perdu dans la maison dont il lui montre le chemin. Alice est surprise, mais part et mont à l’étage de la maisonnette où elle trouve des gants et en prend une paire, mais trouve un flacon ne comportant aucune inscription près d’un miroir, qu’elle boit. Elle grandit alors pour remplir route la maison, ses bras sortant par les fenêtres et son pied étant dans la cheminée. Le lapin tente de rentrer mais n’y parvient pas, Alice occupe tout l’espace, puis sa ménagère arrivent et ils découvres les bras d’Alice qui bougent, quand le lapin décide d’envoyer Bill le lézard par la cheminée. Mais Alice lui donne un coup de pied qui le projette au loin, puis elle se met à rapetisser, et lorsqu’elle sort elle voit une une séries d’animaux qui lui font peut et elle s’enfuit pour se retrouver dans une forêt dense. Elle rencontre un énorme chien géant mais réussit à s’enfuir, et trouve un champignon et décide d’en manger pour essayer de grandir, mais quand elle s’approche, elle trouve un gros ver à soie bleu qui fume. Ils engage la discussion et il lui explique que le dessus et le pied du champignon peuvent lui modifier sa taille, puis il disparait. Espérant retrouver sa taille normale, elle en mange et grandit énormément, son cou est devenu très, si bien qu’un pigeon l’attaque pensant que c’est un serpent. Alice finit par manger du champignon et retrouver sa taille originelle, puis trouve une porte dans un arbre, qui la ramène à la première pièce ; Elle peut alors déverrouiller la porte, manger à nouveau du champignon pour rapetisser et elle réussit enfin à atteindre le joli petit jardin du début.

Alice rencontre de nombreux personnages en formes de cartes à jouer, dont trois jardiniers qui repeignent des roses blanches en rouges. Puis la reine de cœur et sa cour, dont le lapin blanc, arrive, celle-ci veut trancher la tête à tout le monde, notamment à ses jardinier, mais Alice les protège, puis une partie délirante de croquet est lancée partie jouée par exemple avec des hérissons en tant que boules et des autruches servant de maillets. Puis la reine conduit Alice auprès du griffon afin qu’il la mène découvrir la tortue « fantaisie ». Le trio chante et danse le « quadrille des homards » puis « Soupe à la tortue », mais le griffon ramène subitement Alice auprès de la cour de la reine, en train de faire le procès du valet de cœur qui aurait soit-disant manger sa tarte. Alice s’énerve et crie qu’ils le sont qu’un paquet de cartes, quand celui-ci s’abat sur son visage. Là, Alice se réveille sur le talus des feuille tombant sur son visage, endormie sur les genoux de sa sœur. Alice, qui avait fait un rêve, rentre chez elle, tandis que sa sœur s’endort et se met à rêver de sa propre sœur, Alice, en train de rêver, à sa descendre, alors qu’elle serait en train de lui raconter des histoires merveilleuses.


Les Aventures d’Alice au pays des merveilles :

La jeune Alice, allongée au côté de sa sœur sur un talus dans le jardin, s’ennuie, quand elle voit passer un lapin blanc, qui a cela de particulier, qu’il parle, porte un gilet, et consulte une montre qu’il plonge dans une petite poche. Elle décide de le suivre dans le terrier sous la haie dans lequel il s’est engouffré. Elle avance à quatre pattes, puis debout, mais tombe dans une sorte de puits interminable, à une allure qui lui semble très lente. après une très longue chute, elle atterrit sans encombre sur un tas de feuille et revoit le lapin, qu’elle suit jusqu’à une salle où figurent plusieurs portes fermées à clef. Elle trouve une clef minuscule, mais qui ne permet d’en ouvrir aucune, puis fini par trouver une toute petite porte d’une quarantaine de centimètres par laquelle elle pénètre dans un couloir exigu. Elle voit au fond un jardin, mais ne peut y pénétrer de par sa taille. Elle ressort du couloir, puis sur la table dans la première pièce, elle trouve une bouteille qu’elle n’avait pas vu, avec une étiquette marquée « Bois-moi ». Le contenu au gout agréable, la rapetisse jusqu’à la faire mesurer 25 centimètres, mais elle se rend compte qu’elle ne peut pas aller dans ce jardin, puisqu’elle a laissé la clef sur la table. Elle tente alors au hasard de monter dessus en s’agrippant à un pied, mais sans succès ; cependant, cachée dessous, elle trouve une petite boite, avec à l’intérieur, un petit gâteau portant l’inscription « Mange-moi » et qu’elle avale. Elle grandit jusqu’à mesurer mesurer 2,75 mètres, et ne passe plus par le petit couloir, puis ne se trouvant plus elle même, la petite fille rêveuse qui se parle souvent à elle même se demande si elle n’est pas quelqu’un d’autre, et là, survient à nouveau le lapin blanc qu’elle tente d’interpeller, mais il prend peur et lâche l’éventail et la paire de gants blanc qu’il tient. Alice se met à pleurer inondant le sol, puis elle ramasse les deux objets du lapin, et quand elle réussit à passer le gant, elle comprend qu’elle rapetisse sous l’effet magique de l’éventail. Elle tombe alors dans ses larmes et elle est devenue si petite que cette eau salée passe pour une mer dans laquelle elle nage. Elle rencontre alors une petite souris tombée elle aussi à l’eau, et commencent à discuter mais lui fait peur en lui parlant de sa chatte adorable. Elles regagnent alors la terre ferme, avec les autres animaux tombés à l’eau, un dodo (un oiseau), un lori (perroquet), un canard et un aiglon, ainsi que plusieurs créatures bizarres. Là, la souris raconte son histoire, en attendant de sécher, mais elle se vexe lorsque Alice se distrait et part ; un dodo décide de lancer une course de Caucus (course en rond sans règle, ni départ et ni arrivée, dans laquelle tous les participant vont gagner), qui permet à tous de sécher. Puis, Alice reparle de son chat, ce qui fait fuir tous les animaux.

Là apparait à nouveau le lapin blanc, pressé de retourner auprès d’une certaine duchesse, demandant à Alice qu’il prend pour sa bonne Marie-Anne, de trouver son éventail et sa paire de gants. La pièce a complètement disparu, il n’y à plus rien, puis proche, elle voit une maison dans laquelle elle pénètre. Elle trouve les gants et l’éventail, mais aussi une bouteille qu’elle boit, voulant redevenir grande. Elle grandit tellement qu’elle finit par occuper tout l’espace disponible jusqu’au plafond, ses jambes et ses bras sortant par les ouvertures, portes et fenêtres. Le lapin blanc tente de rentrer avec son employé nommé Pat, mais n’y parvient pas, puis demande alors à Pierre le lézard de passer par la cheminée pour chercher ses affaires, mais il n’y arrive pas, Alice lui donne un coup de pied et le projette à l’extérieur. Là, ils jettent des cailloux à l’intérieur, qui se transforment en petits gâteaux, qu’Alice mange et et qui la font rétrécir. Le Lapin a disparu, Alice rencontre alors un chien tandis qu’elle est toute petite, elle joue un peu avec lui puis s’enfuit, et cherche quelque chose à manger pour regrandir. Sur un champignon, elle découvre une chenille bleue assise les bras croisés, fumant un narguilé. Alice lui explique qu’elle ne sait plus qui elle est, ou qui elle était, puis la chenille lui fait réciter un poème pour tester sa mémoire, et lui signale quelle peut grandir ou rapetisser en mangeant les deux côtés du champignon, puis lui demande de ne jamais se mettre en colère et s’en va. Alice le mange, rapetisse puis grandit jusqu’à dépasser les arbres. Elle rencontre un pigeon qui le prend pour un serpent, et a peur pour ses œufs, bien qu’elle lui affirme être une petite fille. Alice remange plusieurs fois des deux parties du champignon et retrouve sa taille normale. Elle cherche alors ce fameux jardin dans lequel elle veut pénétrer depuis le début, mais tombe sur une clairière où se dresse une grande maison, qui mesure cependant 1,20 mètres ; elle décide alors de remanger du champignon afin de remesurer 20 centimètres de haut et ne pas effrayer ses habitants. Un valet-poisson vient alors frapper à la porte et remet à un valet grenouille une lettre géante, une invitation pour la duchesse qui habite les lieux, pour venir chez la reine pour une partie de croquet. Le poisson repartit, la grenouille énigmatique et rêveuse s’assoie sur le porche et répond évasivement à toutes les question d’Alice, qui décide de rentrer. Elle tombe dans une cuisine, la cuisinière faisant à manger très poivré dans un chaudron, et la duchesse tenant dans ses bras un bébé, ces deux derniers éternuant à cause du poivre. Figure également le Chat-du-comté-de-Chester, arborant de grandes griffes et un sourire immense avec de nombreuses dents. Dedans, règne un vacarme assourdissant, et des assiettes ou des casseroles volent. La duchesse berce sans douceur le bébé et chante une comptine, puis soudainement, elle part et jette son bébé à Alice qui le rattrape. S’éloignant de ce tumulte, elle sort, mais celui-ci grogne, puis se transforme en cochon et part dans la forêt. Elle s’avance et voit le Chat-du-comté-de-Chester sur un arbre puis lui demande son chemin. Il lui dévoile que d’un côté habite le lièvre de Mars, et de l’autre le chapelier, et qu’ils sont fous comme tous ceux qui sont ici, lui-même ou Alice. Il apparait et disparait plusieurs fois, lui disant qu’il serait à la partie de croquet chez la reine. Elle décide de partir vers la maison du lièvre de Mars, une bâtisse assez grande, donc elle mange un peu du champignon qui lui reste et regrandit un peu.

Devant la maison sous un arbre, le lièvre de Mars et le chapelier prennent le thé cote à cote, entourant un loir endormis, sur une grande table dressée. Alice s’installe pour un gouter complètement loufoque et dément au cours duquel ils l’interrogent sur une devinette absurde, puis se tient une discussion peu claire sur le temps impliquant une montre qui ne fonctionne pas, alors que le loir raconte une histoire peu ordinaire de filles au fond d’un puits de mélasse, entre divers réveils et endormissements. Gênée par la situation, Alice quitte la table et part dans les bois, où elle voit un arbre avec une petite porte. Elle pénètre à l’intérieur et se retrouve dans la première salle qu’elle a visité, mais cette fois-ci, elle prend la petite clef, ouvre la porte, s’engouffre dans le petit couloir après avoir mangé une partie de ce qui lui reste du champignon et atteint la bonne taille. Alice pénètre dans un très beau jardin avec des haies et des rosiers, et voit de suite trois jardiniers, leur corps étant une carte à jouer, possédant deux bras et deux jambes à chaque coin et une tête, en train de repeindre les fleurs blanches en rouge. La reine ne veut que des roses rouges, ils les repeignent donc quotidiennement pour masquer leur erreur. La reine de Cœur sort accompagnée du roi, de sa cour, famille et courtisans et des soldats-cartes, mais aussi du lapin blanc, et questionne tout le monde, voulant régler le moindre problème en disant « Qu’on lui coupe la tête ». Alice est invitée à jouer au croquet avec eux, mais la partie est rocambolesque, le terrain comporte des creux et des bosses, les arceaux se déplacent, les boules sont des hérissons qui se déplacent aussi quand ils veulent et les maillets sont des flamands rose vivants. Suite à un désaccord avec le roi, le Chat-du-comté-de-Chester dont la tête seulement es apparu est condamné à avoir le tête coupé, mais le bourreau s’y refuse, ne pouvant pas prétextant qu’il n’y a qu’une tête et rien à couper. Alice indique que le chat appartient à la duchesse, enfermée par la reine pour un retard. Celle-ci est amenée sur le terrain de jeu et discute avec Alice, trouvant une morale à tout bout de champ sur tous les sujets abordés. La reine intervient et convie à nouveau Alice à jouer, mais les cartes servant d’arceau sont toutes occupées à réaliser les condamnations de la reine, ainsi la partie s’arrête lorsque cette dernière demande au griffon de présenter la Simili-tortue à Alice, puisqu’elle n’en a jamais vu. Un peu plus loin, la Simili-tortue raconte son histoire à la jeune fille, son éducation dans des matières scolaires incongrues. Puis, la tortue et le griffon se lancent dans une danse de la quadrille du homard et chantent, puis Alice raconte l’histoire de ce qui lui est arrivé depuis le matin, et à leur demande récite approximativement une comptine. Ne comprenant rien, ils interrompent Alice et la tortue se remet à chanter, quand le griffon mène Alice à un procès, celui du valet de cœur.

Le valet de cœur est accusé d’avoir volé les tartes de la reine, le roi est juge, les jurés sont choisi parmi ceux présent, comme Pierre le lézard. Trois témoins sont présentés à la barre, le Chapelier et la cuisinière de la duchesse n’ont rien à dire à par un discours incohérent. Puis Alice est présentée à la barre, qui grandit progressivement pour retrouver sa taille normale de petite fille. Elle fait même tomber les jurés, puis le roi veut la faire expulser à cause de sa grande taille, mais elle refuse. Alice est finalement accusée que quelque chose, sans que cela soit défini, mais elle réfute les accusations. Malgré ceci, la reine décide de la condamner à lui couper la tête. Les cartes commence à lui tomber sur la tête ; c’est à ce moment qu’elle se retrouve dans son jardin réveillée par sa sœur sui la sort de ce rêve étrange. Alice lui raconte son rêve, puis part, sa sœur se met alors à rêver éveillé et revoit tous les personnages qu’elle vient de découvrir, imaginant aussi par la suite Alice adulte, rêvant des personnages et de l’histoire que ses enfants pourraient lui raconter.


De l’autre côté du miroir et de ce que Alice y trouva :

Alice joue avec ses chattons, notamment la petite Kitty, puis décide de passer dans la maison de l’autre côté du miroir. Elle change de pièce puis se retrouve sans comment sur la cheminée, puis traverse le miroir, pour arriver dans la pièce inversée, dans laquelle elle voit des pièces d’échec bouger toutes seules. Elle aide la reine blanche, et le roi tombé dans la cendre de la cheminée, en les portant à rejoindre leur fille sur la table. Mais ils ne la voient et ne l’entendent pas. Elle trouve un livre, dans lequel elle découvre un poème, mais dont les lettres sont retournée (tout est inversé dans le miroir), qu’elle peut lire dans le reflet de la glace et qui parle du Jabberwocky (un héros le tue avec l’épée vorpale). Alice ne comprend pas bien, mis à part que quelqu’un a tué quelque chose. Elle se décide alors de visiter les lieux avant de rentrer chez elle. Elle descend l’escalier puis explore le jardin. Là, elle veut se rendre jusqu’à une colline qu’elle aperçoit, en empruntant un chemin très sinueux, qui malgré toutes les bifurcations qu’elle choisit la ramène toujours devant la maison, comme si celle-ci voulait qu’elle rentre. Mai Alice ne veut pas de peur que ses aventures s’arrêtent. Puis, les fleur se mettent à lui parler et lui dévoilent que toutes les fleurs parlent. Elles lui disent qu’elles croisent régulièrement une fleur qui lui ressemble, mais plus grosse qu’elle, au moment où celle-ci se présente, en réalité la reine rouge (la reine de cœur). Quand Alice se rend compte que le jardin est quadrillé par des ruisseaux et des chemins, formant un plateau de jeu d’échec, la reine l’invite à jouer ; pour s’y rendre, elles se mettent à courir pendant assez longtemps afin de rester sur place puisqu’il faut courir deux fois plus vite pour aller plus loin. La reine plante des piquets représentant le parcours et les cases que doit emprunter Alice qui est un pion, en les lui décrivant notamment la quatrième où elle trouvera Tralala et Tralali, essentiellement de l’eau dans la suivante et Humpty Dumpty dans la sixième, une forêt avec un cavalier pour la guider, et deviendra avec elle une reine dans la huitième. La reine lance le jeu, mais atteint en un instant le dernier piquet puis disparait.

Dans les premières cases, elle voit des grosses abeilles, mais s’approchant elle s’aperçoit que se sont des éléphants, puis monte dans un train un peu fou fou qui saute, dans lequel divers animaux sont assez incohérents, et qui passe de la seconde à la quatrième case. Elle pénètre une forêt où elle voit l’insecte qui lui parlait précédemment. Lui-même gros comme une poule, il évoque de nombreux insectes fantastiques. Lorsqu’il disparait, elle traverse un champ puis une autre forêt, dans laquelle les nom de tout ce qu’il s’y trouve sont oublié. Là elle rencontre un faon, qui ne connait plus son nom, ni Alice. Lorsqu’ils en sorte, le volatile prend peur et s’enfuit, lorsqu’il se rend compte qu’elle une une enfant humaine et Alice se remémore son prénom se promettant de ne plus l’oublier. Puis elle rentre dans une autre forêt plus sombre où elle trouve un sentier avec deux panneaux donnant des directions des maisons de Tralala et Tralali. Plus loin, elle tombe sur deux petits et gros bonhommes, Tralala et Tralali. Elle danse avec eu, puis ils lui racontent le poème « Le morse et le charpentier », le mène jusqu’au roi rouge qui dort et ronfle dans un vacarme assourdissant ; les deux frères s’emmitouflent dans des tissus et coussin pour se battre au sujet d’un hocher, mais prennent peur et disparaissent, lorsqu’un corbeau géant vole au-dessus de la forêt ; Alice se cache sous un arbre. Elle rencontre la reine blanche dont la mémoire semble pouvoir fonctionner aussi bien dans le passé que dans le futur, et réagit aux évènements avant qu’ils arrivent. Alice, lui rend son châle et la rhabille, puis elle se transforme en brebis qui tricote, tandis qu’elle se retrouve dans un magasin dans lequel les choses changent de place pour n’offrir que des rayons vides quand Alice s’approche. Puis elle se retrouve dans une barque sur l’eau avec la brebis et veut attraper des joncs parfumés qui poussent mais elle tombe, puis quand elle réclame encore un petit crabe, elle tombe dans la barque et se retrouve dans le magasin. La brebis lui vend un œuf, qui lorsqu’elle s’approche se transforme en quelqu’un, tandis que des arbres poussent. Passant à la sixième case alors que le gros corbeau a disparu et que la pénombre de la forêt s’est dissipée, elle voit Humpty Dumpty (personnage de chanson enfantines anglaises en forme d’œuf anthropomorphique), qui évoque les anniversaires et les non-anniversaires, et lui explique le texte du Jabberwocky et ses mots formés de deux mots, puis ils se séparent.

La forêt est envahie par des milliers de soldats, qui obligent Alice à partir pour le champ tout proche, où elle voit le roi blanc, dont les messagers Haigha et Hatta reviennent de la ville. Ils dévoilent que le Lion et la Licorne (emblème du Royaume-Uni) se battent dans la ville. Ils partent de suite, et les voient s’affronter, alors que la Licorne semble gagner de peu. Ils mangent une tarte aux prunes, quand des tambours assourdissants résonnant dans les rues. Là, le cavalier rouge la capture, mais le cavalier blanc intervient et la libère en gagnant son duel contre son homologue. Il décide de l’accompagner jusqu’à la prochaine case, mais il s’avère très mauvais en équitation et ne tient pas sur son cheval, ce qui le fait régulièrement chuter sur la tête. Il décrit plusieurs invention de son tonneau à Alice, et lui chante une chanson qu’il a écrite, et la laisse à la huitième case. Alice s’assoie et se rend compte qu’elle a quelque comme de gros sur la tête, une couronne. Elle se retrouve entourée des reines blanches et rouges, qui lui font passer un examen lui permette de devenir réellement reine, un questionnaire farfelue aux questions et réponses incongrues. puis survient un repas organisé en l’honneur d’Alice, quia déjà commencé quand elle réussit à passer la porte. Entourée des deux reines, elle ne parvient pas à manger, puis des évènements fantastiques surviennent, les bougies s’allongent et produisent des feux d’artifice, quand les assiettes, les bouteilles et les plats s’envolent. La reine blanche disparait dans la soupe, et Alice décide de secouer la rouge jusqu’à qu’elle devienne une petite chatte.

Alice se réveille chez elle à proximité de la table d’échecs, sortie de son rêve pas sa petite chatte dans les bras qui ronronne, et croit que ses chats étaient différents personnages de cette histoire; mais elle se demande si elle rêvait ou participait au rêve du roi rouge.


La Chasse au Snark :

C’est un poème se déroulant dans le même univers du poème nommé Jabberwocky, inclus dans De l’Autre côté du miroir, baigné par l’absurde et parfois sans sens, qui contre certains mots inventés et sans signification.

Un équipage composé par exemple de l’Homme à la Cloche, du marchand de bonnets, du marqueur de billard, du Boucher, ou du Boulanger, part à la chasse au Snark sur les mers. Ils entendent le cri d’une créature nommée Jeubjeub, peut-être un oiseau, puis l’Avocat rêve du Snark ; par la suite, le Snark de l’histoire du Boulanger s’avère être un Boujem.


Alice racontée aux petits :

Alice rêve d’un lapin blanc qui possède une montre, qui court pour le pas rater son rendez-vous avec la duchesse. Elle se mit à courir après lui, et entrant dans son terrier, elle tombe dans un trou très profond dans une chute interminable, arrivée au fond elle se remet à le poursuivre Elle arrive dans une salle avec des portes fermées a clef, mais sur une table elle trouve une clef qui ouvre une minuscule porte donnant sur un jardin. Sur la table elle trouve également une bouteille avec l’inscription bois-moi ; ce qu’elle fait et qui la rend toute petite, mais malheureusement elle a oublié la clef sur la table. Elle trouve un gâteau avec l’inscription mange-moi, qui la fait grandir, bien plus que sa taille originale.Elle se met alors à pleurer et inonder le sol, puis rapetisse, pour nager dans ses propres larmes, avec une souris. Une fois au sec, Alice débute une course avec un dodo et des oiseaux pour se sécher, tandis que le lapin blanc perd ses gants et son éventail. Puis, il demande à Alice de les trouver en allant chez lui ; elle suit et alors qu’elle voit les gant sur la table, elle boit à nouveau un liquide qui la fait grandir et remplir la maison entière. Le lapin blanc essaye de faire rentrer son amis le lézard mais Alice le projette au loin à l’extérieur d’un coup de pied. Elle prend un nouveau gâteau qui la rapetisse, puis elle sort de la maison, et voit un chien ; elle se cache alors dans les herbes. Là elle rencontre la chenille bleue qui lui dit de prendre un morceau de chaque côté du champignon sur lequel il se trouve, qui la fera grandir, ou le contraire. Alice se rend auprès de la duchesse, où figure la cuisinière et un vilain bébé, et le chat du Cheshire. Alice part avec le bébé dans les bras, mais il se transforme en cochon et s’enfuit. Puis le chat du Cheshire apparait et tandis que Alice lui demande la sortie, il lui indique que les chemin mènent chez deux fous, le Chapelier, et le Lièvre de Mars, chez qui Alice décide d’aller. Elle l’y trouve en compagnie du Chapelier et d’un loir, autour d’une table entrain de prendre le thé. Alice se retrouve par la suite dans le jardin de la reine de cœur, où elle croise des soldats en forme de carte à jouer, avec une tête des bras et jambes, en train de reprendre les roses blanches en rouges, pour éviter le courroux de la méchante reine. Celle-ci joue au croquet avec un flamand rose en guise de maillet et de hérissons pour les boules, puis engageant la discussion avec Alice, elle l’emmène auprès du griffon et de la fausse tortue. Après, elle se retrouve au procès d’un des valets de la reine qui aurait volé une de ses tartes. Alice fait tomber tous les jurés puis est invectivé par la reine qui veut lui couper la tête, puis lorsque Alice lui dit qu’elle n’est qu’un jeu de carte, elle se retrouve sous une pluie de cartes. Là, Alice se réveille dans le jardin.


Alice à la scène :

C’est une sorte de lettre, d’article ou de note concernant la création d’Alice et ses significations, écrite par Lewis Carroll, qui semble avoir été insérée dans un programme à l’attention du public, lors de représentations théâtrales de l’adaptation de l’œuvre Alice.


Note concernant une devinette d’Alice :

Lewis Carroll précise que la devinette du Chapelier fou n’a pas de réponse officielle.


Lettres :

Quelques lettres écrites par Lewis Carroll, signée C.L. Dodgson, concernant la publication de Alice sous Terre, à une amie à qui il avait donné le manuscrit après son écriture.


Pour franciser les jeux de langage d’Alice :

Notes du traducteur.

Commentaires

C’est un recueil regroupant tous les textes concernant l’œuvre d’Alice.


Couverture (Fair use)

Également dans ma collection

C’est un conte fantastique pour la jeunesse, la première version du conte écrite par Lewis Carroll, avant la sortie de Les Aventures d’Alice au pays des merveilles, mais sans le chat du Chessire et le thé chez le le lapin et le Chapelier fous.

Résumé ↑


Couverture (Fair use)

Également dans ma collection

C’est un conte fantastique célèbre qui aborde de très nombreux thèmes, comme l’univers du rêve ou de l’imaginaire, et du monde de l’absurde, la jeunesse et la candeur, opposé à la mort, et bien d’autres choses.

Résumé ↑


Couverture (Fair use)

Également dans ma collection

C’est un conte fantastique, suite de Les Aventures d’Alice au pays des merveilles, proposant une nouvelle plongée dans l’absurde, le non-sens ou l’irrationalité, qui amuse, intrigue, ou parfois fait réfléchir.

Résumé ↑


Couverture (Fair use)

Également dans ma collection

C’est un conte fantastique pour enfant, une version simplifiée et réécrite de Les Aventures d’Alice au pays des merveilles par Lewis Carroll lui-même.

Résumé ↑