Hymne5 minutes de lecture
Le narrateur vit dans une société totalitaire, ou les libertés sont contrôlées, toute personne n’a plus le droit d’écrire ou de rester seul. L’individu âgé de 21 ans appelé Égalité 7-2521 s’exprime pour lui avec le pronom nous, les Enseignants et les Dirigeants lui reprochent même d’avoir dépassé la moyenne de taille en atteignan 1.80 mètre, fais-en de lui un être différent, le diable, né maudit en raison de sa différence. Sur les portes du palais du Conseil mondial, source de toute vérité, figurent les mots tous en un et un en tous, la devise est aucun homme n’existe sauf nous, unique, indivisible et pour l’éternité, ceci depuis la grande Renaissance, dont l’époque antérieure ne doit jamais être évoquée, sous peine de passer 3 ans dans le palais de la détention corrective. Seuls les anciens peuvent parler des temps interdits, le Mal, dans la maison des inutiles. Mais cette époque a disparu quand les hommes ont découvert la grande vérité, ils ne sont qu’un et il n’existe que la volonté collective. Dès l’âge de 5 ans à la maison des enfants, il se bat avec ses camarades, une des fautes les plus graves, le conduisant à être prévenu par le Conseil de la maison. Il a été envoyé dans la Maison des étudiants pour étudier jusqu’à 15 ans mais n’y était pas heureux, puisqu’il est plus doué et intelligent et rapide que ses camarades, et donc puni pour sa différence. Il est coupable du péché de préférence quand il décide de choisir son avis il n’y a 15 ans alors qu’il est censé accepter le choix du Conseil des vocation. Il est intéressé par la science des choses mais le Conseil des érudits sait tout et dicte tous les savoirs à connaître, service qu’il veut intégrer. Il est affecté au poste de balayeur de rue, mais semble accepter s’en sort. Il débute son travail après lequel il sera dans l’une des salles de la cité pour l’assemblée sociale avec les autres citoyens, où les dirigeants prononcent les discours au Conseil de la cité, avant d’entonner les hymnes, l’hymne de la fraternité l’Hymne à l’égalité et l’hymne à l’esprit collectif. Tous se rendent en cortège au Théâtre de la Cité pour 3h de récréation sociale, où se tiennent des représentations des acteurs abordant principalement le labeur et son bien fait, avant de rentrer à la maison, pour dormir dans des dortoirs d’une centaine de lits. Il explique qu’ils doivent travailler ainsi jusqu’à 40 ans et sont après affectés à la maison des inutiles avec les anciens pour, espérer vivre jusqu’à 45 ans. Il travaille très bien pendant 4 ans mais fait la connaissance de son collègue International 4-8818 mais se lie d’amitié avec lui ce qui est un péché. Un jour il découvre tous les deux une sorte de grille à proximité de la forêt vierge, lieu interdit d’évoquer, et de la fosse d’aisanse, qui mène à un escalier où ils décident tous les deux de descendre. Inquiet et conscient de faute, il pénètre un tunnel avec une rambarde, ils comprennent que le lieu est abandonné depuis les temps interdits, puis remonte, et il décide de ne rien dire au Conseil de la cité de leur découverte. Régulièrement la nuit pendant deux années, ils vont visiter en secret les lieux équipé de bougies pour de lumière, du papier et des couteaux volés, et passe leur temps à étudier et découvrir. Alors que tout citoyen ne doit pas prêter attention au sexe opposé sauf en période d’accouplement, Égalité 7-2521 repère une femme travaillant dans un champ rattaché à la maison des paysans, Liberté 5-3000 et donc sous son charme, et la revoit chaque jour, fini par lui dire bonjour régulièrement, alors qu’il n’a pas le droit de parler à un membre d’une autre confrérie. Encore conscient de nouveaux péchés, il finit par lui donner un nom, La Dorée. Il explique que les hommes de plus de 20 ans et les femmes depuis de 18 sont envoyés au palais de l’accouplement chaque année et des enfants naissent l’hiver mais ceci ne voit jamais leur bébé, qui ne connaissent pas non plus leurs parents. Il a été lui-même envoyé deux fois au palais de l’accouplement mais n’a pas apprécié. Il parvient à lui parler et l’embrasser, puis il se sent heureux et chante et il est puni pour ça, mais réfléchis à ceci et estime c’est un paradoxe puisqu’ils sont censés être heureux et vivre pour les autres alors que dans le dortoir ils sont tous tristes, ou affaibli, et on peur de parler de peur de ne pas être d’accord. Il pense alors à la cité, et la forêt vierge qui semble-t-il renferme des vestiges, d’une ancienne guerre, du temps de l’horreur de la grande Renaissance, un temps où les ennemis appelaient les maudits furent vaincus, puis brûlé avec les livres, puis les sa place à la grande Renaissance, avec les exécutions découpable ayant prononcé le mot indicible. Bien que les érudits déclarent que tout ce qui n’est pas connu n’existe pas, il découvre lors de la dissection d’une grenouille, que l’électricité peut la faire bouger alors qu’elle est morte, puis il parvient à canaliser de l’électricité avec un morceau de métal à l’entrée du tunnel et du trou et découvre réseau de fil avec semble-t-il une ampoule très ancienne du temps d’avant, et c’est personne qu’il va comprendre ce que c’est. Quelques jours après il parvient à parler à nouveau à la dorée, qui lui dévoile qu’elle aussi elle lui a donné un surnom, l’insoumis, puis il l’appelle chérie et lui embrasse les mains, avant de se séparer. Après plusieurs jours, il parvient à faire fonctionner l’ampoule, c’est-à-dire restituer la puissance céleste dans une boîte en verre et pense à tous les bénéfices que cela pourrait apporter à la communauté, considérant cette découverte comme trop importante pour la taire, et décide ainsi de déléguer ça trouvaille à moi après lors du conseil des érudits, espérons que ce cadeau pour ses frères permettra d’obtenir un nouveau regard du Conseil d’évocation et de le transférer à la maison des érudits. Toutefois, il n’écrit pas pendant 30 jours puisque ce jour-là, il reste trop longtemps dans le tunnel et son absence est repéré au Théâtre de la Cité, puis il refuse de s’expliquer auprès du doyen du conseil de la maison des balayeurs de rue et il est envoyé au palais de la détention corrective où et fouetté par des sortes de bourreaux mais il n’avoue pas où il était au juge et il est attaché pendant plusieurs jours. Il décide de s’évader de ce lieu peu sécurisé n’ayant jamais connu évasion la veille du jour du conseil des érudits dans l’optique de divulguer sa découverte. Le lendemain, il explique son absence sa découverte et présente son ampoule devant des érudits offusqué du péché d’un balayeur de rue leur parlant. Ils ne sont cependant pas étonnés et lui promettre les fouets et la peine de mort, et estime que ce n’est pas une découverte, mais investige du passé, qui déstabiliserait le Conseil Mondial et les plans établis, la production de bougies. Certains membres érudits émettent quelques interrogations, mais des sites finalement de détruire le dispositif, poussant Égalité 7-2521 à censure avec, et prends la direction de la forêt vierge. Son premier jour dans la forêt est un émerveillement, à se rouler se coucher par terre comprenant qu’il n’aurait rien à faire, réussi à tuer un oiseau pour se nourrir, ou bois de l’eau d’un ruisseau dans lequel il voit son reflet et se trouve différent de ses frères, un damné. Il n’écrit pas pendant de nombreux jours, mais le lendemain la dorée la suivi et le retrouve, après avoir eu vent de sa fuite, quand elle a décidé de s’évader de la maison des paysans, lui expliquant qu’elle veut le suivre jusqu’au bout et mourir avec lui, il tombe amoureux l’un de l’autre éperdument. Il s’éloigne pendant plusieurs jours de la cité, puis atteignent une chaîne de montagne où il trouve une maison abandonnée dans laquelle ils s’installent et trouve des choses bien différentes de leur monde, une maison seulement construite pour deux personnes, des habits très différents et colorées, des vers ou des ustensiles ou tout objet, ainsi qu’une bibliothèque remplie de livres, puis ils réussissent à tuer une chèvre sauvage pour manger. Il commence à écrire et parler à la première personne, je, (qu’il découvre dans le premier livre qu’il ouvre) et à la lecture de nombreux ouvrages, il s’interroge sur son existence tournée vers la communauté, maintenant qu’il estime pouvoir exister en tant qu’individu sans rien devoir à personne, libre de ses choix et de ses pensées, et rejetant le nous imposé. Il décide de se donner un nom, Prométhée et elle Gaia, qui porte maintenant un enfant de lui, et se lance dans un pamphlet où il s’étonne de la mutation de la société pour en arriver ne penser qu’au au groupe et oublier l’individualité, et ce genre de ne jamais abandonner le combat de la liberté, motivé par le mot sacré EGO.
Commentaires
C’est une nouvelle de science-fiction plus précisément dystopique culte et incontournable.
- Hymne
- Ayn Rand
- 1938
- Les Belles Lettres (2023)
- Traduction par Catherine Bonneville
- 9782251454504